Auteur : dimitri

Huawei pourrait lancer ses smartphones P40 sans Android si le blocage continue

Interrogé au sujet de la situation dans laquelle se trouve son groupe, le patron de Huawei a déclaré que le smartphone P40 pourrait utiliser le système d’exploitation HarmonyOS, en lieu et place d’Android.

Devant être présentés le 19 septembre prochain, les smartphones Mate 30 feront les frais de la situation délicate dans laquelle se retrouve Huawei. Ils ne seront en effet pas livrés avec les applications et services de Google. Exit notamment la boutique d’applications Play Store.

Mais le groupe chinois développe depuis quelques temps son propre système d’exploitation, tout comme il conçoit ses propres chipsets, les solutions Kirin, à travers sa filiale HiSilicon. Il dispose ainsi d’un plan B. Selon Richard Yu, cette carte sera jouée si la situation perdure. Dans le cadre du salon IFA 2019, le patron de Huawei a indiqué au site allemand Spiegel Online que les Huawei P40 de début 2020 pourraient tourner sous HarmonyOS. Il déclarait en effet : « Pour les produits actuels, nous resterons avec Android. Si les contraintes persistent, nous utiliserons notre HarmonyOS pour les futurs produits, tels que le P40, qui est prévu pour le printemps 2020 ».

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Qualcomm veut démocratiser les smartphones 5G et promet des modèles abordables dès 2020

Qualcomm entend participer à la démocratisation de la 5G. Le géant américain annonce l’arrivée prochaine de la connectivité sur des smartphones de milieu de gamme reposant sur ses plates-formes Snapdragon de séries 6 et 7.

Sans surprise, la 5G fait ses premiers pas sur les smartphones haut de gamme. La nouvelle connectivité arrivera plus tard sur les modèles plus adorables. Et Qualcomm entend visiblement participer à cette démocratisation. À l’occasion du dernier salon IFA de Berlin, la firme de San Diego a d’ailleurs donné quelques détails. 

Après avoir proposé la 5G sur les plates-formes haut de gamme Snapdragon 855 et Snapdragon 855+, Qualcomm la rendra accessible avec ses plates-formes de milieu de gamme des séries 6 et 7. En début d’année 2020, notamment au MWC de Barcelone, on devrait ainsi voir des smartphones 5G en Snapdragon 7xx. Qualcomm a évoqué une douzaine de constructeurs ayant manifesté leur intérêt parmi lesquels HMD Global (Nokia), Motorola, Realme, Redmi ou encore Oppo. Il faudra attendre la seconde partie de l’année pour voir des modèles 5G reposant sur un chipset Snapdragon 6xx. Pour vous faire une idée des smartphones qui auront alors droit à la 5G, on peut citer le Redmi Note 7 qui abrite un chipset Snapdragon 660 et qui coûte 199 euros.

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Android 10 : Huawei dévoile la feuille de route pour le déploiement sur ses smartphones

Huawei annonce ses smartphones et ceux de sa marque Honor qui profiteront du nouveau système d’exploitation Android 10.

Maintenant que Google a ouvert les vannes pour son nouveau système d’exploitation Android 10, on s’attend à des annonces du côté des constructeurs de smartphones partenaires. D’ailleurs, Huawei a dévoilé sa feuille pour le déploiement de la ROM Emotion UI 10 basée sur Android 10 sur ses propres smartphones et ceux écoulés à travers la marque Honor. 

Le modèle Huawei Mate 30 en bénéficiera ainsi dès le 19 septembre, soit à son lancement. Suivront ensuite les Huawei P30 et Huawei P30 Pro en novembre 2019. Le mois de décembre s’annonce plutôt chargé, avec la mise à jour des Huawei Mate 20, Huawei Mate 20 Pro, Huawei Mate 20 X, Huawei Mate 20 RS Porsche Design, Honor 20, Honor 20 Pro et Honor View 20. En mars 2020, ce sera au tour des Huawei  P20 Lite, Huawei P20, Huawei  P20 Pro et Huawei P30 Lite. Cette liste n’est qu’un premier jet et est amenée à être complétée par la suite. Huawei a en effet parlé d’autres modèles en 2020, mais sans en donner les noms.

Source : FRandroid

 
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Test du Xiaomi Mi A3, un smartphone avec une excellente autonomie

 

Univers Freebox vous propose aujourd’hui le test du smartphone Xiaomi Mi A3. S’il y a bien une qualité qu’on peut lui reconnaître, c’est son excellente autonomie.

Avant de passer à ce test réalisé à partir d’un smartphone prêté par la marque, voici un rappel des principales caractéristiques du Xiaomi Mi A3 qui coûte 249,90 euros en configuration 4/64 Go et 279,90 euros en configuration 4/128 Go.

–    Processeur : octa-core jusqu’à 2,0 GHz (chipset Qualcomm Snapdragon 665)
–    Mémoire vive : 4 Go
–    Écran : dalle AMOLED 6,088 pouces offrant une définition HD+ (1 560 x 720 pixels)
–    Audio : son produit par un haut-parleur dans la tranche inférieure
–    Stockage : 64 ou 128 Go (extensible par MicroSD)
–    Compatibilité 4G : support des bandes B1/B2/B3/B4/B5/B7/B8/B20/B28
–    Triple capteur photo dorsal : 48 + 8 + 2  Mégapixels (principal, ultra grand-angle et infos de profondeur)
–    Capteur photo frontal : 32  Mégapixels dans une encoche goutte d’eau
–    Prise casque : oui (tranche supérieure)
–    Connectique de charge : USB Type-C (tranche inférieure)
–    Connectivité Bluetooth : version 5.0
–    Support NFC : non
–    Batterie : 4 030 mAh (non amovible) rechargeable en filaire avec le bloc 10 Watts fourni (support de la charge 18 Watts)
–    Système d’exploitation : Android 9.0 Pie (Android One)
–    Protection : lecteur d’empreintes sous l’écran ou reconnaissance faciale

Un smartphone beau et agréable en main

Avec ses tranches arrondies et son poids bien reparti, le Xiaomi Mi A3 se révèle agréable à tenir en main. Comme à l’accoutumée avec les coques brillantes, il y aura de quoi irriter les plus maniaques. 

Notons aussi le bloc photo excentré qui rend le smartphone instable lorsqu’il est sur le dos. Cela peut déranger si vous êtes de ceux qui utilisent leur smartphone posé sur la table pour répondre aux messages.

Un écran peu défini, mais offrant de belles couleurs et une bonne luminosité, et un son correct

Première chose que l’on remarque, surtout en voyant passer pas mal de smartphones, c’est la définition faiblarde de l’écran. Dommage, car l’usage d’une dalle AMOLED se traduit par de jolies couleurs. En extérieur, nous avons également constaté que l’écran restait utilisable avec un fort ensoleillement.

Côté son, c’est puissant et il y a un début de basses. On peut toutefois souligner les aigus qui peuvent se montrer désagréables à fort volume. Mais le véritable regret, c’est le rendu qui n’est pas stéréo. Le son sort seulement d’un haut-parleur dans la tranche inférieure. La mini-jack est présent, dans la tranche supérieure.

Une partie photo correcte, mais pas exceptionnelle

Globalement, les photos ne sont pas mauvaises, même le soir (du fait d’un mode dédié qui vient corriger les défauts). Maintenant, nous avons aussi trouvé que les clichés produits pouvaient manquer de détails par moment. Et si le Xiaomi Mi A3 s’en sort bien en grand-angle, mieux vaut éviter le zoom qui donne rarement quelque-chose de bien.

Ci-dessous, une photo en mode normal, puis en grand-angle :

Une photo en mode normal, puis en version zoomée :

Une autre photo de jour :

Deux exemples de selfies en extérieur, avec des niveaux d’ensoleillement différents :

Une photo en intérieur, le soir :

Une photo de nuit, avec le mode normal, puis le mode nuit dédié :

Assez de performances sous le pied pour envisager du jeu

Avec un chipset Snapdragon 665 et 4 Go de RAM, on s’attendait à pouvoir jouer. En fait, cela dépend des jeux. Aphalt 9 se lance, mais n’offre pas la meilleure expérience, avec quelques sensations de ralentissement lors de cascades ou d’écrans chargés de concurrents. PUBG Mobile fonctionne de manière fluide, mais avec des niveaux de graphismes bas. Quoi qu’il en soit, pas de chauffe désagréable. Au pire, un smartphone tiède.

Pour ceux qui aiment les benchmarks, voici les résultats donnés par AnTuTu et Disk Speed :

 

Une 4G confortable, mais pas exceptionnelle non plus

À l’usage, le Xiaomi Mi A3 propose du surf et des téléchargements confortables lorsqu’il est connecté 4G. Maintenant, nos mesures avec les outils nPerf et RNC Mobile n’ont pas montré des débits exceptionnels non plus, surtout en intérieur.

En extérieur, nous avions entre 50 et 115 Mbit/s en débit descendant (réception/téléchargement) :

 

Ci-dessous, ceux obtenus en extérieur, dans une zone résidentielle assez dense et depuis la salle de rédaction d’Univers Freebox :

 

Notez enfin que ce smartphone supporte la 4G 700 MHz (B28), chère à l’opérateur de Xavier Niel. 

Un smartphone très endurant (et pourtant, on ne l’a pas ménagé)

Parlons maintenant de l’autonomie qui est clairement un point fort du Xiaomi Mi A3. Une première fois, nous étions partis de 100 % à 8h43, pour arriver à 32% le lendemain à 18h07. Entre temps, de la manipulation pour explorer l’interface et faire des captures, un gros téléchargement de 2 Go (PUBG Mobile), une mise à jour du système, un passage dans AnTuTu, des tests de débits, 1 heure de YouTube avec le casque Bluetooth, 1 heure de streaming audio avec le casque Bluetooth, 4 heures de streaming audio avec l’enceinte Bluetooth, 35 minutes de jeu avec le son du haut-parleur, des photos, du Twitter et du surf sur Internet.

Nous avons donc décidé d’y aller un peu plus franchement pour tenter de le mettre à genoux, en vain. Partis de 100 % à 8h11, nous sommes arrivés à 35 % à 21h37. Au cours de la période : 2 heures de streaming audio avec un casque Bluetooth, 7 heures de streaming audio avec des écouteurs filaires, 45 minutes de Netflix, 1 heure 20 minutes de YouTube avec le haut-parleur, 1 heure 35 minutes de jeu avec le haut-parleur, des photos et du Twitter.

Si le Xiaomi Mi A3 supporte la charge 18 Watts, la marque ne fournit qu’un chargeur 10 Watts dans la boîte. Voici d’ailleurs un suivi de charge pour vous donner une idée du temps à prévoir :

– 10h00 : 35 %
– 10h11 : 43 %
– 10h34 : 62 %
– 10h55 : 80 %
– 11h14 : 92 %
– 11h20 : 95 %
– 11h46 : 100 %

Petite précision concernant nos tests de charge, nous n’avions pas le chargeur 10 Watts d’origine (notre exemplaire de test est arrivé sans boîte et seulement avec un câble USB-C). Nous avons donc utilisé un chargeur 10 Watts en notre possession.

Android Pie 9.0, tout simplement

Le Xiaomi Mi A3 s’accompagne d’une ROM Android 9.0 Pie. Pas de surcouche MIUI, puisqu’on parle d’un smartphone Android One. On retrouve le système Android tel qu’imaginé par Google et profite de mises à jour rapides. 

 

 

Comme seule application issue d’un partenariat, nous avions ainsi AliExpress, avec une possibilité de suppression, tandis qu’une mise à jour durant nos tests nous a permis de passer des patchs de sécurité de juin 2019 à ceux d’août 2019.

 

En parlant de sécurité, le choix est laissé entre le lecteur d’empreintes digitales sous l’écran et la reconnaissance faciale avec le capteur photo avant (dans l’encoche goutte d’eau). Les deux solutions sont tout aussi efficaces l’une que l’autre.

 

VERDICT : si vous avez un budget de 250-300 euros et recherchez une expérience Android proche de celle imaginée par Google, le Xiaomi Mi A3 mérite de faire partie des options. Faisant partie du programme Android One, il propose des aspects intéressants comme une jolie finition, un écran AMOLED offrant de belles couleurs (mais manquant de définition), un son puissant (mais pas stéréo), des performances suffisantes pour jouer de manière occasionnelle (avec toutefois des concessions sur les graphismes), des photos correctes (mais pas exceptionnelles) et surtout une solide autonomie. En fait, on ne peut pas lui reprocher grand-chose si l’on tient compte de son prix contenu.

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Nubia Red Magic 3S : un smartphone Snapdragon 855+ taillé pour le jeu sur mobile

 

La marque Zubia, poussée par le groupe chinois ZTE, offre un successeur au Red Magic 3 et dévoile le Red Magic 3S. Ce smartphone orienté gamer s’équipe notamment du chipset Snapdragon 855+.

En mai dernier, Nubia a présenté un smartphone Red Magic 3 pensé pour le jeu sur mobile. La marque de ZTE dévoile aujourd’hui son remplaçant avec le modèle Red Magic 3S. Celui-ci profite du chipset Snapdragon 855+ avec son processeur jusqu’à 2,96 GHz associé ici à 8 ou 12 Go de mémoire vive et un refroidissement combinant air et liquide. La température pourrait être réduite de 18 degrés. Le Red Magic 3S offre également un écran AMOLED 6,65 pouces Full HD+ avec un ratio 19,5/9 et un taux de rafraîchissement à 90 Hz, ainsi que des haut-parleurs stéréo et un stockage 128 ou 256 Go en UFS 3.0. Pour la photo, on a un capteur 16 Mégapixels à l’avant et un capteur 48 Mégapixels au dos. Livré avec un système Android 9.0 Pie coiffé de l’interface RedMagic OS 2.1, il s’accompagne aussi d’une batterie 5 000 mAh avec une possibilité de charge rapide en 27 Watts. Le lecteur d’empreintes digitales se trouve quant à lui au dos.

La marque a pour l’instant parlé de la distribution en Chine, où la disponibilité interviendra le 9 septembre avec des configurations 8/128 et 12/256 Go vendues les équivalents de 380 et 480 euros. Reste donc à attendre les infos concernant les autres marchés. 

Source : GSMArena

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Sony Xperia 5 : la firme japonaise propose un smartphone plus compact, tout en gardant le format 21/9 et les bordures

 

Sur fond d’IFA 2019, Sony a dévoilé son smartphone Xperia 5. La firme japonaise garde son format 21/9. Elle continue également de faire l’impasse sur les solutions de type encoche ou capteur photo avant rétractable pour pousser les bordures. 

Sony a répondu à l’appel de l’IFA de Berlin, en Allemagne, au cours duquel il montrera son smartphone Xperia 5 qui se présente comme une variante compacte du Xperia 1 et qui a été annoncé à la conférence de presse du groupe japonais.

Le Xperia 5 permet en effet de passer à une diagonale de 6,1 pouces, au lieu de 6,5 pouces, avec une définition 2 520 x 1 080 pixels, au lieu de 3 840 x 1 644 pixels, avec toujours une dalle de type OLED. Toujours pas d’encoche ou autre solution en revanche pour pousser les bordures. Réduites, ces dernières restent en effet très apparentes. En parallèle, la batterie a été adaptée, avec une capacité de 3 140 mAh, au lieu de 3 330 mAh. La charge rapide 18 Watts a été en revanche conservée. Pour le reste, on retrouve le chipset Snapdragon 855, sans le modem X50 pour ajouter la 5G, le triple capteur photo 12 + 12 + 12 Mégapixels au dos, mais désormais excentré, et la certification IP68 pour la résistance à l’eau.

La disponibilité du Sony Xperia 5 est prévue pour début octobre. Il faudra débourser 799 euros. Une phase de précommande débutant le 9 septembre permettra d’obtenir les écouteurs sans-fil avec réduction de bruit WF-1000XM3. 

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Samsung relance son smartphone Galaxy Fold pliable

Le premier smartphone pliable de Samsung revient dans une version corrigée. La firme sud-coréenne a en effet annoncé la commercialisation de cette dernière dans plusieurs pays, parmi lesquels la France.

En raison de soucis entre les mains de quelques journalistes, Samsung avait décidé de décaler la sortie du Galaxy Fold, son premier smartphone pliable, le temps d’apporter quelques améliorations. Pour éviter que la couche protectrice de l’écran ne soit retirée par l’utilisateur ou que des corps étrangers ne puissent s’introduire dans le mécanisme de pliage, par exemple.

Après une attente que certains ont pu trouver longue, Samsung a finalement communiqué sur la commercialisation de la version corrigée de son Galaxy Fold. Ce dernier commencera sa carrière à domicile, en Corée du Sud donc, et arrivera un peu plus tard sur d’autres marchés. Le Galaxy Fold débarquera ainsi en France le 18 septembre avec un prix de 2 020 euros. Notez toutefois qu’il s’agit d’une édition limitée qui sera uniquement disponible en 2019, en attendant l’arrivée de la seconde version.

Animé par un chipset Snapdragon 855 avec 12 Go de RAM, rappelons que le Galaxy Fold permet de passer d’un écran 4,6 pouces lorsqu’il est plié, à un écran 7,3 pouces lorsqu’il est déployé. Il propose également pas moins de 6 capteurs photo, ainsi qu’une batterie 4 380 mAh (4 235 mAh pour le modèle 5G) et un stockage 512 Go.

Sources : FRandroid et GSMArena
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Asus ROG Phone II : le smartphone gamer annoncé pour l’Europe

 

Dévoilé en juillet dernier, le smartphone Asus ROG Phone II s’aventure à présent en Europe. Découvrons ses prix en euros et rappelons ses caractéristiques.

En juillet dernier, Asus a présenté le ROG Phone II, un smartphone taillé pour le jeu profitant notamment du dernier chipset mobile de Qualcomm. Aujourd’hui, ce ROG Phone II apparaît en précommande sur le site Internet de la marque taïwanaise, avec un prix de 899 euros pour une version avec 512 Go de stockage et des premières livraisons prévues le 20 septembre. Une configuration avec 1 To de stockage arrivera en octobre et sera vendue 1 199 euros.

Pour rappel, l’Asus ROG Phone II embarque le chipset Qualcomm Snadragon 855+ avec 12 Go de RAM. Il propose un écran AMOLED 6,59 pouces Full HD+ avec un taux de rafraîchissement à 120 GHz, des haut-parleurs stéréo, une sortie casque, un double capteur photo 48 + 13 Mégapixels au dos (principal + ultra grand-angle) et un capteur photo 24 Mégapixels à l’avant. L’alimentation repose sur une batterie 6 000 mAh rechargeable en 30 Watts. Le lecteur d’empreintes prendra place sous l’écran.

Notez enfin que nous faisons le nécessaire pour vous proposer un test complet prochainement sur Univers Freebox. En parlant de tests, nous avons récemment proposé ceux des Xiaomi Mi 9T Pro et Moto G7 Play.

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(Màj) Samsung présente un smartphone Galaxy A avec la compatibilité 5G

 

(Mise à jour) : Samsung a donné les infos concernant la commercialisation sur le Vieux Continent. Le Galaxy A90 5G arrivera en Europe au mois d’octobre avec un prix de 749 euros.

Samsung a officialisé l’arrivée d’un nouveau smartphone compatible 5G. Après avoir proposé la connectivité sur ses gammes Galaxy Note et Galaxy S, il l’intègre à présent dans un modèle de la série Galaxy A.

Samsung vient en effet de dévoiler son smartphone Galaxy A90 5G, un modèle de milieu de gamme avec quelques caractéristiques haut de gamme. 

Construit autour de la plate-forme Snapdragon 855, dont le processeur octa-core jusqu’à 2,84 GHz est ici associé à 6 ou 8 Go de RAM, le Galaxy A90 5G profite de la 5G grâce au modem X50. Il propose outre cela un écran Super AMOLED 6,7 pouces en 2 400 x 1 080 pixels, un stockage 128 Go, un triple capteur photo 48/8/5 Mégapixels au dos (le second pour l’ultra grand-angle et le troisième pour les infos de profondeur) et un capteur photo 32 Mégapixels à l’avant (dans une encoche). Le Galaxy A90 profite par ailleurs d’une batterie 4 500 mAh avec une charge rapide 25 Watts et d’un lecteur d’empreintes sous l’écran. À noter enfin, comme l’indique Samsung, qu’il sera le premier membre de la famille Galaxy A à bénéficier du support Samsung DeX, pour l’utilisation dans une configuration de bureau, grâce à un dock.

Le Galaxy A90 5G sera commercialisé dans un premier temps à domicile, soit en Corée du Sud, avant de s’aventurer sur d’autres marchés. Le constructeur n’a pas donné de précision sur ce dernier aspect.

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Test du Moto G7 Play disponible chez Free Mobile, un smartphone compact qui permet de jouer (un peu)

Univers Freebox vous propose aujourd’hui le test du smartphone Moto G7 Play récemment arrivé dans la boutique en ligne de Free Mobile et affiché à 169 euros. L’offre n’est pas totalement inintéressante, au regard du prix attractif. Surtout si vous cherchez un modèle compact.

Avant de passer à ce test réalisé à partir d’un smartphone prêté par la marque, voici un rappel des principales caractéristiques du Moto G7 Play qui coûte 169 euros chez Free Mobile.

–    Processeur : octa-core jusqu’à 1,8 GHz (chipset Qualcomm Snapdragon 632)
–    Mémoire vive : 2 Go
–    Écran : dalle IPS 5,7 pouces offrant une définition HD+ (1 512 x 720 pixels)
–    Audio : son produit par le haut-parleur d’appel
–    Stockage : 32 Go (extensible par MicroSD)
–    Compatibilité 4G : support des bandes B1/B2/B3/B4/B5/B7/B8/B20/B28
–    Capteur photo dorsal : 13 Mégapixels
–    Capteur photo frontal : 8 Mégapixels
–    Prise casque : oui (tranche supérieure)
–    Connectique de charge : USB Type-C (tranche inférieure)
–    Connectivité Bluetooth : version 4.2
–    Support NFC : non
–    Batterie : 3 000 mAh (non amovible) rechargeable en filaire avec le bloc 5 Watts fourni
–    Système d’exploitation : Android 9.0 Pie
–    Protection : lecteur d’empreintes au dos ou reconnaissance faciale

Un smartphone compact 

Ce qui ressort en premier lors de la prise en main du Moto G7 Play, c’est le format compact et le poids léger. On est loin de l’effet parpaing de certains modèles. 

Le bloc photo centré et large participe de son côté à la stabilité, si vous êtes de ceux qui utilisent leur smartphone posé sur la table.

Un écran correct, mais un son passable

L’écran du Moto G7 Play n’offre pas la meilleure définition. Sa large encoche, qui sert à accueillir le capteur photo, le flash et le haut-parleur d’appel, se révèle encombrante en jeu et en lecture vidéo. L’écran se montre en revanche assez lumineux pour un usage en extérieur avec un bon ensoleillement. Rien à signaler non plus concernant la glisse sur la vitre. Aucune accroche désagréable.

Parlons maintenant du son, produit ici par le haut-parleur d’appel au-dessus de l’écran. Si le haut-parleur propose un son assez puissant, on n’apprécie pas vraiment de le pousser à fond. Les basses sont absentes et les aigus agressent les oreilles. Pas mieux du côté des écouteurs fournis, que l’on remplacera sans regret.

Des photos d’appoint, rien de plus

Si les clichés produits par les capteurs 8 et 13 Mégapixels (des définitions qui dépendent d’ailleurs du ratio choisi) ne sont pas exceptionnels, ils pourront servir pour de l’appoint ou pour les réseaux sociaux. 

  

On peut noter quelques aspects intéressants comme la présence d’un flash LED à l’avant et à l’arrière, ou encore les deux pivots du poignet qui servent à lancer l’application photo (smartphone déverrouillé ou avec l’écran éteint) et à passer entre les capteurs avant ou arrière.

Ci-dessous, des photos dans leurs versions normales, puis zoomées :

 

D’autres photos de jour :

 

Une photo en intérieur :

 

Deux exemples de selfie :

 

Une photo de nuit :

 

Une 4G sans prétention

Nos tests de débits en 4G nous ont permis d’osciller entre 70 et 120 Mbit/s en extérieur, dans les zones plutôt bien couvertes.

  

Ci-dessous, le résultat obtenu depuis la salle de rédaction d’Univers Freebox, loin d’être excellent :

 

Notez enfin que le Moto G7 Play supporte la 4G 700 MHz.

Des performances suffisantes pour jouer (un peu)

Si le Moto G7 Play n’est pas une bête de course, comme le confirment des passages dans AnTuTu ou Disk Speed, il permet toutefois de jouer occasionnellement. 

  

Nous avons ainsi pu faire tourner Asphalt 9 et PUBG Mobile de manière fluide, mais avec des niveaux de graphismes bas et avec quelques rares saccades. Un bon point remarqué durant nos sessions de jeux : pas de chauffe désagréable.

Une autonomie correcte

La batterie n’est pas monstrueuse, mais la configuration est plutôt modeste. Il en ressort de ce fait une autonomie pas exceptionnelle, mais convenable dans l’ensemble. Partis de 100 % à 8h54, nous sommes arrivés à 34 % à 17h42. Entre temps, une mise à jour du système, 2 heures 45 minutes de streaming audio avec une enceinte Bluetooth, 1 heure 10 minutes de GPS, quelques photos et de la consultation sur Twitter. Une autre fois, nous avons commencé avec 100 % à 13h50, pour arriver à 40 % le lendemain vers 13h00. Entre temps, un gros téléchargement (PUBG Mobile), 1 heure de jeu, 35 minutes de vidéo YouTube avec les écouteurs en Bluetooth, 2 heures de streaming audio avec le casque, des photos, des tests de débits, du Twitter et du surf Internet.

Le rechargement de cette batterie prend un peu de temps, comme le montre ce suivi. Pas étonnant avec un chargeur 5 Watts dans la boîte.

– 13h02 : 40 %
– 13h38 : 72 %
– 13h59 : 88 %
– 14h30 : 100 %

 

Une interface Android Pie avec quelques fonctions intéressantes

La ROM fournie avec le Moto G7 Play repose sur Android Pie. Elle n’est pas blindée d’applications partenaires.

  

Elle propose quelques fonctionnalités intéressantes regroupées dans une section “Moto” dans les paramètres, comme l’écran attentif. L’écran reste allumé lorsque vous le regardez. Il y a également les gestes pour le capture d’écran à trois doigts, le lancement rapide de l’appareil photo avec deux pivotements de poignet, l’allumage de la lampe-torche avec deux gestes tranchants de la main ou la réduction de la taille d’écran d’un glissement de doigt.

  

Concernant la sécurité, nous avions les patchs du mois de mars 2019, avant de passer à ceux de juin 2019 grâce à une mise à jour. Toujours en parlant de la sécurité, les deux solutions proposées (lecteur d’empreintes ou reconnaissance faciale) fonctionnent relativement bien. Nous avons toutefois une préférence pour le lecteur d’empreintes, caché dans le logo Motorola au dos, qui se montre très rapide, en plus d’être efficace.

  

VERDICT : après une petite semaine de test, notre bilan est plutôt positif. Alors oui, le Moto G7 Play n’est pas parfait avec son écran faiblement défini présentant une encoche assez imposante, son rendu audio moyen, ses photos passables et une charge assez lente. Maintenant, on peut aimer le format compact, la possibilité de jouer de manière occasionnelle, la batterie qui permet de tenir la journée sans passer par la case secteur et son système d’exploitation non surchargé d’applications partenaires. Surtout en sachant qu’on parle d’un smartphone à moins de 200 euros.

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