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Huawei : l’entreprise avoue que son OS maison ne sera pas prêt avant des années

Un responsable du géant chinois a admis que l’OS maison de la marque nécessitait encore plusieurs années de développement avant de pouvoir remplacer Android.

En effet, Joy Tan, vice-président des affaires publiques de Huawei US, s’est exprimé au nom de la marque et a annoncé que Harmony OS le système d’exploitation développé par la marque, ne serait absolument pas prêt à remplacer Android dans l’immédiat. L’OS de Huawei nécessiterait encore plusieurs années de travail afin d’être optimisé, selon le responsable.

Le PDG de la marque, Richard Yu, annonçait il y a quelque temps qu’Harmony OS pourrait être déployé d’ici le début d’année 2020, ce que Joy Tan a rectifié lors d’une interview du Financial Times qui portait sur l’avancement d’Harmony OS. « Nous devons trouver des solutions alternatives pour cet écosystème, mais cela peut prendre du temps à construire. Il y a tant d’utilisateurs d’Android en Europe et en Asie du Sud-Est, et ils sont si habitués à ces applications Google en sus de l’écosystème Android ».

Huawei levait le voile sur ses Mate 30 et Mate 30 Pro au mois de septembre. Elle a confirmé lors de leur présentation, que le lancement de ces flagships serait retardé en France. La principale cause de ce retard étant le développement d’Harmony OS qui n’était pas assez avancé et qui ne permettait donc pas de remplacer Android, ni de commercialiser ces smartphones en France.

Le géant chinois qui cherchait à faire bonne figure face à l’interdiction d’utiliser les services de Google, commence à sentir les effets de cette sentence. En effet, le site spécialisé DigiTimes rapporte que la firme de Cupertino pourrait bien subtiliser la seconde place de Huawei dans le domaine des ventes mondiales de smartphones.

Source : Businessinsider

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MediaTek préparerait une nouvelle puce 5G pour les smartphones milieu de gamme d’ici 2020

Mediatek prépare un nouveau processeur doté d’un module 5G pour les terminaux d’entrée et de milieu de gamme. Il pourrait animer nos smartphones d’ici le troisième trimestre 2020.

La marque taiwanaise possède déjà une plateforme dédiée à la 5G, la MT65885 qui comprend le Helio M70, l’actuel module 5G de la marque. Il est réservé à certains terminaux haut de gamme pour le moment, notamment à cause de son prix.

Mais les ambitions de l’entreprise ne s’arrêtent pas là. La marque est en train de concevoir une nouvelle puce 5G destinée aux smartphones d’entrée et de milieu de gamme cette fois-ci. Elle pourrait voir le jour pour la fin d’année 2020. Ce processeur étant plus petit, il pourrait être intégré à des terminaux moins chers.

Ces informations proviennent du site chinois spécialisé MyDrivers. La seconde puce 5G de Mediatek serait basée sur la même architecture que le processeur M70 et entrerait en phase de production d’ici l’année prochaine. L’entreprise aurait réussi l’exploit de réduire la taille du processeur de 25%. Ainsi, le SoC coûterait moins cher à fabriquer et serait de ce fait, plus accessible. Puisque cette nouvelle puce serait également composée du module 5G Helio M70, sa conception en serait donc plus aisée.

Initialement conçue en 7nm, cette future puce sera par la suite gravée en 6 nm EUV par TSMC. Grâce à cette méthode de gravure, la puce prendra en charge les ondes millimétriques et délivrera ainsi une meilleure captation du réseau. Ainsi en 2020, nous pourrons témoigner de l’arrivée de smartphones plus épais, plus grands, mais aussi plus lourds, à l’instar des derniers Xiaomi Mi Mix 3 ou encore Samsung Galaxy S10 5G.

Les premiers smartphones, d’entrée ou de milieu de gamme, dotés de cette prochaine puce 5G de Mediatek devraient débarquer pour le troisième trimestre 2020. Seules certaines marques chinoises pourraient actuellement bénéficier de ce type de SoC comme Huawei, Vivo ou encore Oppo. Une bonne initiative de la part de Mediatek qui participera sans aucun doute à la démocratisation de la 5G dans les terminaux abordables, avec ce prochain processeur.

Source : LesNumériques

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Samsung : une faille permet de tromper le capteur d’empreintes digitales des derniers terminaux issus de la marque

Si vous êtes possesseur d’un des derniers modèles de la marque Samsung, il vous est vivement conseillé de supprimer vos empreintes digitales, si elles sont enregistrées sur votre smartphone.

En effet, Samsung prévient les possesseurs de Galaxy Note 10, Note 10+ et Galaxy S10, S10+, et S10 5G, d’une faille qui concerne directement les nouveaux capteurs d’empreintes digitales de ces modèles haut de gamme.

L’entreprise précise qu’il faut supprimer les empreintes digitales enregistrées sur le smartphone dans un premier temps, puis les enregistrer une nouvelle fois. La faille concernant le lecteur d’empreintes digitales serait directement liée aux protections d’écran en silicone. Ces dernières occasionnent des bugs sur le nouveau capteur d’empreintes digitales, que la marque a inauguré avec ses Galaxy S10.

La firme qui est au courant de l’anomalie, aurait déjà prévu de déployer un patch correctif cependant, elle ne s’est pas exprimée quant à la cause du problème. Le géant sud-coréen invite donc ses utilisateurs à ne pas utiliser de protections en silicone, du moins « jusqu’à la mise à jour du logiciel, qui doit être publiée à partir de la semaine prochaine ».

Le bug a été repéré par une utilisatrice britannique. Propriétaire d’un Galaxy S10, elle a raconté son expérience au média The Sun. Elle expliquait que le capteur d’empreintes digitales de son Galaxy S10 a été détourné, à l’aide d’une simple protection en silicone. Grâce à cela, son smartphone pouvait donc être déverrouillé, déjouant ainsi le nouveau lecteur d’empreintes digitales, inauguré par la marque avec la sortie du Galaxy S10.

Source : Cnews

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Pixel 4 : le smartphone est compatible avec la charge rapide sans-fil 11W

Lors de sa keynote, Google a surtout détaillé la partie photo de son nouveau Pixel 4 cependant, le smartphone est également compatible avec la charge rapide sans-fil, un point fort omis par la marque.

Au cours de sa dernière conférence pendant laquelle a été présenté le dernier Pixel 4, l’entreprise a surtout mis en avant la partie photo de son dernier flagship. Cependant, Mishaal Rahman de XDADevelopers, a découvert que le dernier modèle de Google est en effet compatible avec la charge sans-fil 11W. D’après les données du Wireless Power Consortium, les précédents modèles les Pixel 3 et Pixel 3 XL ne peuvent être rechargés qu’à hauteur de 5W, à cause d’une limite imposée par Google pour des raisons de sécurité. Avec le Pixel Stand, cette limite peut être débridée jusqu’à 10 W. L’iPhone 11 bénéficie pour sa part, d’une puissance de 7,5 W.

Le Wireless Power Consortium indique également le type de recharge sans-fil c’est-à-dire, si l’appareil dispose d’une charge sans fil limitée à 5 watts (Basic Power Profile), où s’il bénéficie d’une charge rapide non-bridée (Extended Power Profile) permettant de monter jusqu’à 15 watts. Dans le processus de rechargement, il faut également prendre en compte les capacités du chargeur secteur, puisqu’en fonction des marques et des modèles, ses performances ne seront pas les mêmes.

Source : TheVerge

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Qualcomm pourrait équiper en 5G les smartphones de milieu de gamme avec le Snapdragon 735

Qualcomm entend participer à la démocratisation de la 5G sur les smartphones. Cela commencerait par un chipset de milieu de gamme Snapdragon 735, dont les caractéristiques viennent de faire l’objet de fuites.

Les fabricants de chipsets mobiles et les constructeurs de smartphones ont affiché leur volonté de favoriser l’émergence rapide de modèles 5G plus abordables en milieu de gamme, afin de démocratiser la technologie. Après des chipsets Snapdragon 855 et Snapdragon 855+ destinés aux smartphones haut de gamme, Qualcomm prévoit ainsi des solutions Snapdragon de séries 6 et 7 en 2020. Parmi eux, il y aurait le chipset Snapdragon 735, dont profiterait notamment le smartphone Nokia 8.2 5G.

Ce chipset Snapdragon 735 fait justement de l’objet de nouvelles rumeurs à propos d’une présentation prévue le mois prochain et d’une partie de ses caractéristiques techniques. Gravée en 7 nanomètres, la plate-forme serait synonyme d’un processeur octa-core avec 1 coeur à 2,36 GHz et 1 coeur à 2,32 GHz pour les tâches les plus gourmandes, ainsi que 4 coeurs à 1,73 GHz pour les tâches courantes. Elle apporterait également la solution graphique Adreno 620, une version améliorée de la solution Adreno 618 à bord de la plate-forme Snapdragon 730. Rendez-vous le mois prochain pour en avoir le coeur net.

Source : LesMobiles

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Face à une faille de sécurité du Galaxy S10 et de son lecteur d’empreintes, certaines banques réagissent

Le lecteur d’empreintes digitales du Samsung Galaxy S10 est en ce moment vivement critiqué car peu fiable et en attendant que cela soit corrigé, certaines banques utilisant la reconnaissance d’empreintes ont du réagir.

C’est le gros hic du dernier smartphone de la gamme Galaxy S: la sécurité de son lecteur d’empreinte. En effet, celui-ci peut être facilement contourné à l’aide d’un simple film de protection et même le géant sud-coréen a admis qu’il s’agissait d’une faille de sécurité qu’il souhaitait corriger prochainement. Si Samsung s’est montré réactif, certaines institutions utilisant la reconnaissance d’empreintes ont également du réagir à ce risque, notamment… les banques.

En effet comme le relaye 01Net, certains utilisateurs du smartphone haut de gamme ont reçu des notifications les informant du retrait de leurs applications pour les modèles incriminés, ou simplement retiré l’accès au lecteur d’empreinte de leur appli. Un phénomène international, dont témoignent des clients de banques britanniques, mais aussi d’une banque de Singapour. Cette action des banques révèle que si l’utilisation de nouvelles technologies facilite la vie des utilisateurs, leur démocratisation pour d’autres usages peut présenter des risques dans des domaines où une faille peut s’avérer bien plus grave.

Certaines banques conseillent également, en attendant une correction de la part de Samsung, d’opter pour un autre moyen d’identification afin de sécuriser au mieux leur accès à leur compte. Un conseil à suivre pour tous les utilisateurs du Galaxy S10, par mesure de précaution. Le géant sud-coréen n’a pas annoncé de date de déploiement de sa mise à jour corrective pour l’instant concernant son flagship.

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Smartphones 5G : Xiaomi prévoit de lancer plus de 10 modèles en 2020

Xiaomi prévoit de lancer plus de 10 smartphones 5G en 2020, avec notamment des modèles pour les budgets plus modestes.

Xiaomi s’est déjà positionné sur la 5G, avec un smartphone Mi Mix 3 5G dévoilé début 2019 au MWC de Barcelone et un Mi 9 Pro 5G présenté en septembre dernier. Le constructeur chinois ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.

Selon Lei Jun, son CEO, Xiaomi compte lancer plus de dix smartphones 5G en couvrant tous les segments tarifaires. Il s’agit de se positionner face à la concurrence, mais aussi de réduire le nombre de smartphones uniquement 4G, à l’heure où la 5G commence à se déployer et où le consommateur pourrait décaler son achat pour acheter un modèle 5G et ainsi rentabiliser au maximum son achat. 

Pour proposer la 5G sur les smartphones plus abordables, Xiaomi devrait faire appel aux chispets Snapdragon de séries 6 et 7 compatibles 5G, que Qualcomm compte proposer à partir de 2020

 

Sources : GSMArena et Génération-NT

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L’agence nationale de la sécurité sanitaire veut durcir les procédures de contrôle d’emission d’ondes des smartphones

Si une régulation existe déjà pour les smartphones, modifiée depuis 2016, pour limiter le délai d’absorption spécifique (DAS) de chaque appareil, l’agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES) souhaite durcir la législation et le contrôle des modèles.

Si le DAS maximum en France est établi à 2 Watts par kilogramme, tant pour la tête que pour le tronc et ce depuis 2016, l’association propose de durcir les méthodes d’évaluation de ce DAS, notamment au niveau de l’éloignement par rapport au corps. La majorité des téléphones mis sur le marché étaient conformes pour une utilisation à une distance de 15 mm avant 2016, mais la modification du règlement a poussé les fabricants à tester leurs appareils à une distance maximale de 5mm. L’ANSES veut pousser l’évaluation en l’effectuant au contact du corps, au vu des habitudes des usagers (mettre son smartphone dans sa poche de veste par exemple.

Ainsi, l’autorité sanitaire recommande que plus aucun smartphone aux DAS supérieurs à 2W/kg ne soient commercialisés. L’ANFR contrôle déjà les DAS de certains modèles et les dépassements peuvent être sanctionnés soit de l’obligation d’effectuer une mise à jour logicielle, soit d’un retrait pur et simple du marché pour le ou les modèles incriminés, voir une interdiction de commercialisation si l’entreprise refuse de coopérer. L’ANSES recommande également que les vérifications de conformité du “DAS tronc” soient effectuées au contact du corps, et non à 5mm de distance afin de prévenir tout risque pour la santé de l’utilisateur.

Des mesures plus strictes afin d’écarter au mieux les risques sanitaires à long terme des ondes. L’ANSES applique en effet ici la politique “mieux vaut prévenir que guérir”, rappelant dans son communiqué que rien ne conclut à un effet d’une exposition longue à des ondes sur le corps ou le cerveau sur le long terme. De même, il y est précisé que les tests effectués par l’ANFR sont des tests effectués dans des situations extrêmes, avec le maximum d’ondes émises sur toute la durée du test, ce qui est rarement le cas.

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La majorité des utilisateurs se dit incapable de vivre sans smartphone

En collaboration avec Opinion Way, Orange publie « L’Observatoire des usages du digital » réalisé avec la participation de 11 871 personnes de 9 pays. 

Cet observatoire révèle que les utilisateurs sont nombreux à voir l’inclusion numérique, soit l’accès au numérique pour tous,  comme l’une des priorités nationales. Le chiffre s’élève à 72 % parmi les personnes interrogées en France et atteint les 87 % en Espagne.

Il montre également une forme d’addiction au smartphone pour une bonne partie des utilisateurs. En France, où la proportion est moins forte que dans certaines parties du monde comme la Côte d’Ivoire ou la Corée du Sud, ils sont tout de même 52 %  à avouer ne pas pouvoir vivre sans smartphone. 

Pour autant, cette volonté de prendre le train du numérique et ce fort attachement au smartphone ne sont pas forcément liées à la volonté de garder un oeil constant sur sa vie sociale en ligne. En effet, d’après les réponses fournies, 75 % des utilisateurs français trouvent les réseaux sociaux de plus en plus superflus. La proportion grimpe même à 82 % chez les Américains.

Les parents n’oublient pas non plus de garder un oeil sur le temps d’écran de leurs enfants. 75 % disent être vigilants en France. En Espagne et aux États-Unis, la proportion monte à 83 et 80 % respectivement.

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Pixel 4 : pas de lecteur d’empreintes pour le smartphone de Google et une reconnaissance faciale qui pose déjà problème

 

Google promet de corriger ce qui se présente comme une faille de sécurité sur les Pixel 4 et Pixel 4 XL, ses derniers smartphones haut de gamme.

Quelques tests sur les Pixel 4 et Pixel 4 XL ont révélé une vulnérabilité assez dérangeante. Il est en effet possible de déverrouiller le smartphone même en ayant les yeux fermés. Les données personnelles du propriétaire en train de dormir, inconscient ou mort ne seront ainsi plus à l’abri d’une personne mal intentionnée. Sans compter que la reconnaissance faciale sert aussi pour les paiements. Le constat est d’autant plus dérangeant qu’il n’y a pas l’alternative du lecteur d’empreintes digitales.

Ci-dessous, les tests de journalistes de FrAndroid et Journal du Geek :

Selon le site The Verge, Google a promis de combler cette brèche au cours des prochains mois. Comme chez Apple, le système vérifiera que les yeux de l’utilisateur sont bien ouverts. D’ici là, les utilisateurs ayant quelques craintes vont ainsi devoir se contenter de solutions classiques de type code ou schéma.

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