Catégorie : Non classé

Smartphones : Motorola participe aussi à la démocratisation de la 5G, Google propose un nouveau cador de la photo

Chaque semaine, retrouvez un condensé des annonces autour des smartphones. Au menu : l’annonce d’un nouveau modèle 5G à petit prix chez Motorola, la disponibilité en précommande d’un nouveau cador de la photo chez Google et une charge ultra rapide en préparation chez Xiaomi.

Toujours plus accessible. Si Xiaomi a annoncé un smartphone 5G à moins de 300 euros avec le Mi 10T Lite, Motorola aussi avec son Moto G 5G à 299,99 euros équipé du chipset Snapdragon 750G. Attendu dans les prochaines semaines, ce smartphone propose aussi un écran 6,7 pouces FHD+, de la photo 48 Mégapixels et une batterie 5 000 mAh rechargeable en 20 Watts.

De son côté, Google propose son Pixel 4a 5G en précommande depuis le 5 novembre. Affiché à 499 euros, ce smartphone propose la compatibilité 5G grâce au chipset Snapdragon 765G, ainsi que les grosses performances photo ayant fait la réputation de la famille Pixel. Les caractéristiques indiquent par ailleurs un écran OLED 6,24 pouces FHD+, un son stéréo, une connectique mini-jack et une batterie 3 885 mAh rechargeable en 18 Watts.

Quant à Xiaomi, il planche, comme d’autres constructeurs, sur la charge rapide. Ayant récemment fait la démonstration d’une charge 80 Watts en sans-fil et intégré une charge 120 Watts en filaire sur un modèle de série, le constructeur chinois travaille en effet sur une charge filaire en 200 Watts. Selon BGR, la technologie pourrait profiter à un modèle de série dès 2021. À voir aussi les mécanismes qui seront mis en place pour préserver la durée de vie de la batterie.

Classés sous les catégories : Non classé

WhatsApp lance les messages éphémères

WhatsApp a annoncé aujourd’hui permettre la suppression automatique de vos messages.

Il est dorénavant possible de programmer un nettoyage hebdomadaire de vos conversations Whatsapp. Un projet qui date déjà d’un an pour la filiale de Facebook, puisque des prémices de cette option étaient déjà testés en bêta en septembre dernier.

C’est désormais une réalité : sur son blog, WhatsApp a annoncé aujourd’hui le lancement des messages temporaires, sous forme d’option. Lorsque les messages temporaires sont activés, les nouveaux messages envoyés dans une discussion disparaîtront au bout de sept jours, permettant à la conversation de conserver un caractère plus léger et privé. Dans les discussions individuelles, chacune des deux personnes y participant pourra activer ou désactiver les messages temporaires. Dans les groupes, ce sont les admins qui en détiendront le contrôle.

La limite de 7 jours permet “d’offrir la tranquillité d’esprit de savoir que vos conversations  ne resteront pas conservées indéfiniment“, tout en gardant l’aspect pratique de retrouver l’objet d’une discussion. La filiale de Facebook apporte quelques précisions sur cette nouvelle fonctionnalité dans une FAQ :

  • “Si un utilisateur n’ouvre pas WhatsApp pendant la période de sept jours, le message disparaîtra. Cependant, un aperçu du message pourrait être affiché dans les notifications jusqu’à ce que WhatsApp soit ouvert.
  • Lorsque vous répondez à un message, le message initial est cité. Si vous répondez à un message temporaire, le texte cité pourrait rester dans la discussion passés sept jours.
  • Si un message temporaire est transféré dans une discussion où les messages temporaires sont désactivés, le message ne disparaîtra pas de la discussion dans laquelle il a été transféré.
  • Si un utilisateur crée une sauvegarde avant qu’un message disparaisse, le message temporaire sera inclus dans la sauvegarde. Les messages temporaires seront supprimés lorsque l’utilisateur restaurera sa sauvegarde.

Remarque : n’utilisez les messages temporaires qu’avec des personnes de confiance. Par exemple, il est possible pour une personne de :

  • transférer ou prendre une capture d’écran d’un message temporaire et l’enregistrer avant qu’il ne disparaisse ;
  • copier et enregistrer le contenu du message temporaire avant qu’il ne disparaisse ;
  • prendre une photo d’un message temporaire avec un appareil photo ou un autre appareil avant qu’il ne disparaisse.”

 

Classés sous les catégories : Non classé

Google va permettre de programmer l’envoi de SMS dans l’application Messages

Les utilisateurs de smartphones Android pourront prochainement programmer l’envoi de leurs SMS. Google commence à déployer une mise à jour côté serveur activant cette possibilité dans l’application Messages.

Google teste une nouvelle fonction pour son application messagerie sur les smartphones Android. Une mise à jour déployée côté serveur et déjà visible par certains utilisateurs. Plus concrètement, les utilisateurs pourront décider de différer l’envoi de leur message.

Pour cela, il suffit de garder le doigt appuyé sur le bouton d’envoi. L’interface affichera une fenêtre contextuelle en premier plan avec trois choix prédéfinis. Un quatre choix permet d’indiquer soi-même la date et l’heure.

Une fois l’envoi programmé, le message apparaît avec une icône en forme d’horloge et une étiquette “message programmé”. En appuyant sur le message programmé, il est possible de mettre à jour l’envoi (contenu et heure d’envoi), de procéder à l’envoi direct ou bien de supprimer le message.

Voilà une fonction pratique pour ne pas oublier d’envoyer un message urgent sans déranger le destinataire ou encore ne pas oublier de souhaiter un bon anniversaire pour ceux ayant la mémoire courte pour les dates. Selon XDA Developers qui a analysé le dernier fichier APK de Google Messages, le code de la fonction apparaît déjà, ce qui laisse espérer un déploiement plus large au cours des prochaines semaines.

Source : XDA-Developers

 

Classés sous les catégories : Non classé

Ventes de smartphones : Xiaomi pique la troisième marche du podium à Apple

Rien ne semble empêcher sa progression. Xiaomi dépasse en effet Apple en volumes de ventes sur le marché des smartphones et se retrouve ainsi sur le podium aux côtés de Samsung et Huawei.

Ça joue des coudes sur le marché du smartphone. Les derniers chiffres de Canalys concernant les volumes de ventes dans le secteur au cours du troisième trimestre 2020 montrent en effet que le podium a changé. Apple n’y apparait plus, relégué en quatrième place avec 43,2 millions d’unités écoulés sur la période et 12,4 % de parts de marché. C’est Xiaomi qui s’est hissé à la troisième place avec 47,1 millions d’unités et 13,5 % du marché.

Les première et seconde places sont toujours occupées par Samsung et Huawei, avec respectivement 80,1 et 51,7 millions d’unités écoulées au cours des trois mois, pour 23 et 14,9 % du marché. La cinquième place revient à nouveau à Vivo, marque soeur d’Oppo, OnePlus et Realme au sein du groupe BBK Electronics, qui se lance d’ailleurs en Europe et notamment en France.

Les ventes mondiales en légère baisse, Huawei avec un boulet à la patte

Les chiffres de Canalys indiquent un marché du smartphone en légère baisse par rapport à l’année dernière. Au cours du troisième trimestre 2020, il s’est vendu 348 millions de smartphones, contre 352,4 millions à la même période en 2019. Soit un recul de 1 %.

Ils montrent aussi que Samsung, Xiaomi, Apple et Vivo ont progressé ou à peine baissé au cours des 12 derniers mois. Samsung, Xiaomi et Vivo ont vu leurs volumes de ventes augmenter de 2, 45 et 6 %, tandis qu’Apple a perdu 1 %. Quant à Huawei, toujours pénalisé par l’embargo américain le privant des services Google et lui mettant des bâtons dans les roues pour les composants, il a accusé une chute de 23 % sur un glissement de 12 mois.

Classés sous les catégories : Non classé

OnePlus confirme sa nouvelle stratégie avec l’officialisation des smartphones Nord N10 et Nord N100

OnePlus ne laisse plus planer aucun doute quant à sa nouvelle stratégie dans les smartphones. La marque présente des OnePlus Nord N10 et OnePlus Nord N100 qui devraient lui permettre de s’adresser à un plus large public.

Après être sans cesse monté en gamme pour offrir le meilleur à sa communauté d’utilisateurs et avoir en conséquence régulièrement augmenté ses tarifs, OnePlus a opéré un changement de stratégie illustré par le OnePlus Nord, un smartphone de milieu gamme compatible 5G affiché à 399 euros. Cette nouvelle orientation s’était aussi illustrée avec le OnePlus 8T, un haut de gamme à prix accessible le faisant revenir sur le créneau de flagship-killers, et dont nous vous préparons d’ailleurs un test sur Univers Freebox.

Des Nord N10 et Nord N100 à 349 et 199 euros

Le constructeur chinois confirme aujourd’hui sa volonté de s’adresser à un public plus large grâce à des tarifs plus attractifs, en présentant des OnePlus Nord N10 et OnePlus Nord N100 à respectivement 349 et 199 euros.

Compatible 5G grâce à sa plate-forme Snapdragon 690, le OnePlus Nord N10 propose par ailleurs un écran IPS 6,49 pouces Full HD+ 90 Hz, un son stéréo, quatre capteurs photo 64, 8, 2 et 2 Mégapixels au dos et un module 16 Mégapixels pour les selfies. Le capteur biométrique se retrouve au dos, et la batterie 4 300 mAh profite d’une charge filaire en 30 Watts.

Se limitant à la 4G, le OnePlus Nord N100 reposant sur la plate-forme Snapdragon 460. La fiche technique mentionne un écran IPS 6,52 pouces HD+, un son stéréo et une batterie 5 000 mAh avec une charge en 18 Watts. Côté photo, on trouve un triple capteur 13 + 2 + 2 Mégapixels au dos et un capteur 8 Mégapixels à l’avant. De nouveau, le lecteur d’empreintes digitales se trouve au dos.

Les deux smartphones seront livrés avec un système Android 10 coiffé de l’interface OxygenOS 10.5. Leurs caractéristiques indiquent enfin une compatibilité avec la B28, soit la 4G 700 MHz, chère aux abonnés Free Mobile. Univers Freebox fait le nécessaire pour vous proposer prochainement des tests complets.

Classés sous les catégories : Non classé

Smartphones : Apple lance ses iPhone 12, Huawei présente ses Mate 40 et Vivo arrive en France

Chaque semaine, retrouvez un condensé des annonces autour des smartphones. Au menu : annonce des Huawei Mate 40, arrivée des iPhone 12, début de Vivo en France et disponibilité des Realme 7 et 7 Pro.

Deux des quatre iPhone 12 dévoilés le 13 octobre dernier sont désormais disponibles en France. Ils peuvent d’ailleurs être achetés auprès de la boutique Free Mobile. Compatibles 5G, ceux-ci proposent notamment un chipset A14 Bionic gravé en 5 nanomètres, un écran OLED, deux ou trois capteurs photo 12 Mégapixels et le nouveau système iOS 14 avec son écran d’accueil repensé.

Vivo, marque soeur d’Oppo et OnePlus, a confirmé son arrivée en France avec quatre modèles X51 5G à 799 euros, Y70 à 279 euros, Y20s à 199 euros et Y11s à 169 euros qui débarqueront le 30 octobre. Compatible 5G grâce au chipset Snadragon 765G, le premier met en avant un écran AMOLED 90 Hz, un capteur photo 48 Mégapixels et une charge rapide en 33 Watts. Les trois autres sont des modèles 4G avec des chipsets Snapdragon 665 ou Snapdragon 460.

Les Realme 7 et 7 Pro sont désormais disponibles en France. Avec un prix démarrant à 179 euros et ayant fait l’objet d’un test par Univers Freebox, le premier mise sur un chipset Helio G95, un écran IPS 90 Hz et une batterie 5 000 mAh rechargeable en 30 Watts. En photo, il propose un quadruple capteur photo 48/8/2/2 Mégapixels (pas de 64 Mégapixels en Europe). Affiché à 329 euros, le second s’oriente vers un SoC Snapdragon 720G, une dalle AMOLED et une batterie 4 500 mAh rechargeable en 65 Watts. En photo, il s’équipe d’un quadruple capteur photo 64/8/2/2 Mégapixels.

Il y a également eu la présentation de la famille de smartphone Mate 40 ce jeudi 22 octobre. Le ticket d’entrée est fixé à 899 euros. Écran OLED, chipset nouvelle génération compatible 5G, photo 50 Mégapixels, charge ultra rapide, le constructeur chinois a mis le paquet pour séduire alors qu’il reste privé du Play Store de Google sur fond d’embargo américain.

Sans oublier la démonstration de Xiaomi autour d’une charge sans-fil en 80 Watts dont profiteront de prochains smartphones.

Classés sous les catégories : Non classé

Huawei présente ses nouveaux smartphones Mate 40 avec écran OLED, 5G, photo 50 Mégapixels et charge ultra rapide

Comme chaque année, Huawei renouvelle sa famille de smartphones haut de gamme Mate. Le géant chinois a mis le paquet pour séduire, alors qu’il reste pénalisé par l’embargo américain le privant des services de Google.

Ils répondent aux noms de Mate 40, Mate 40 Pro, Mate 40 Pro+ et Mate 40 RS. Ce sont les nouveaux smartphones haut de gamme dévoilés ce jeudi 22 octobre par Huawei. Tous bénéficient d’un chipset maison de dernière génération, le Kirin 9000E pour le Mate 40 ou le Kirin 9000 pour les trois autres déclinaisons. Gravées en 5 nanomètres, ces plates-formes apportent un processeur octa-core jusqu’à 3,13 GHz et la compatibilité 5G. La différence se joue au niveau de la partie GPU, avec 22 ou 24 coeurs, et de la partie NPU, avec 2 ou 3 coeurs. La mémoire vive pour épauler le processeur oscille entre 8 et 12 Go de RAM, selon les modèles.

Les quatre nouveaux smartphones de Huawei profitent d’un écran OLED 90 Hz avec une diagonale oscillant entre 6,5 pouces (en 2 376 x 1 080 pixels) pour le Mate 40 et 6,76 pouces (en 2 772 x 1 344 pixels) pour les autres et d’un capteur photo 50 Mégapixels au dos avec plus ou moins de capteurs additionnels selon les modèles. Le Mate 40 embarque une batterie 4 200 mAh rechargeable en filaire avec une puissance de 40 Watts. Les Mate 40 Pro, Mate 40 Pro+ et Mate 40 RS abritent une batterie 4 400 mAh avec une charge 66 Watts en filaire ou 50 Watts en sans-fil.

À smartphones haut de gamme, tarifs haut de gamme. Côté prix, il faudra en effet compter 899, 1 199, 1 399 et 2 295 euros respectivement pour les Mate 40 (8/128 Go), Mate 40 Pro (8/256 Go), Mate 40 Pro+ (12/256 Go) et Mate 40 RS (12/512 Go). Tous les quatre s’accompagneront d’un système Android 10 avec l’interface EMUI 11, mais ne profiteront pas des services et applications de Google du fait de l’embargo américain ciblant toujours le groupe chinois, lequel réfléchirait d’ailleurs à se séparer sa branche Honor.

Classés sous les catégories : Non classé

Smartphones : le refus de déverrouiller l’appareil peut constituer une infraction

“Il y a maintenant un vrai risque à ne pas vouloir donner son code”, alerte un avocat, suite à une décision judiciaire concernant la communication du code de déverrouillage de son smartphone aux forces de l’ordre.

Mot de passe, lecteur d’empreintes digitales et reconnaissance faciale permettent d’empêcher les accès non désirés au contenu de nos smartphones et donc de protéger nos données personnelles. Mais qu’en est-il face à une demande des forces de l’ordre ? La chambre criminelle de la Cour de cassation de Paris a apporté des éclaircissements sur ce point, dans un arrêt publié le 13 octobre 2020.  

“Le code de verrouillage d’un téléphone constitue une convention secrète de déchiffrement dès lors qu’il est utilisé dans le mécanisme de chiffrement des données contenues dans l’appareil grâce à un algorithme défini de manière à les rendre inintelligibles”, indique l’instance judiciaire.

Jusqu’à trois ans de prison

Elle estime de ce fait que le refus de communiquer le code de déverrouillage peut constituer une infraction relevant de l’article 434-15-2 du Code pénal.

“Est puni de trois ans d’emprisonnement et de 270 000 € d’amende le fait, pour quiconque ayant connaissance de la convention secrète de déchiffrement d’un moyen de cryptologie susceptible d’avoir été utilisé pour préparer, faciliter ou commettre un crime ou un délit, de refuser de remettre ladite convention aux autorités judiciaires ou de la mettre en oeuvre, sur les réquisitions de ces autorités délivrées en application des titres II et III du livre Ier du code de procédure pénale.

Si le refus est opposé alors que la remise ou la mise en oeuvre de la convention aurait permis d’éviter la commission d’un crime ou d’un délit ou d’en limiter les effets, la peine est portée à cinq ans d’emprisonnement et à 450 000 € d’amende”, prévoit l’article en question.

Un risque bien réel à ne pas communiquer son code

Interrogé par Les Numériques, Thierry Vallat, avocat au barreau de Paris, estime l’arrêt “très intéressant”, car il précise ce que l’on appelle “convention de chiffrement” et la manière de demander le sésame. Et d’expliquer : “Il faut que ce policier ait obtenu l’autorisation d’un magistrat. C’est vrai que lorsqu’on est en garde à vue et qu’on ne sait pas tout à fait comment ça se passe, la plupart des gens donnent leur code sans résistance”.

Selon Thierry Vallat, il faut désormais une vraie définition juridique, afin de lever toute ambiguïté et de “savoir quels téléphones sont concernés ou pas”.

Sauf à se tourner vers la Cour européenne des droits de l’homme, “on a maintenant une décision qui peut faire jurisprudence”, note-t-il concernant le caractère définitif de ce verdict, Et d’insister sur le fait qu’“il y a maintenant un vrai risque à ne pas vouloir donner son code”.

Source : Les Numériques

Classés sous les catégories : Non classé

Xiaomi présente une charge ultra rapide en sans-fil pour les smartphones

Recharger son smartphone en sans-fil, sans avoir à mettre la main sur son câble de charge, c’est pratique. Très rapidement, c’est encore mieux.

19 minutes, voilà justement le temps qu’il faut pour recharger un smartphone avec une batterie 4 000 mAh, grâce à la nouvelle technologie dont Xiaomi a fait la démonstration dans une vidéo. Les 10 % sont atteints en 1 minute et les 50 % en 8 minutes. À peine le temps de tourner le dos, que c’est déjà fini.

Xiaomi n’en est d’ailleurs pas à son premier coup dans le domaine de la charge sans-fil. Le constructeur chinois avait en effet proposé une charge sans-fil 30 Watts en 2019, puis présenté des charges sans-fil 40 et 50 Watts plus tôt cette année. Il s’est également illustré grâce à une charge filaire en 120 Watts dont profite un Mi 10 Ultra malheureusement réservé au marché chinois.

Classés sous les catégories : Non classé

Exposition aux ondes : l’ANFR vous montre comment sont réalisés les contrôles de DAS sur les smartphones

Comment se passent les contrôles de DAS réalisés chaque année par l’ANFR ? Voilà qui reste probablement opaque pour une bonne partie des consommateurs. Le gendarme des ondes vous explique tout.

Lors des contrôles réalisés par l’ANFR sur les smartphones, afin de vérifier le respect des limites réglementaires en matière de DAS, certains se font épingler. Dernièrement, cela a notamment été le cas pour le Sony Xperia 5 et le Xiaomi Mi Note 10. Tous les deux sont d’ailleurs rentrés dans les clous suite à des mises à jour logicielles déployées par les constructeurs.

Mais quel est le parcours d’un smartphone lors d’un contrôle et les sanctions encourues ? Dans une vidéo, le gendarme des télécoms vous montre et vous explique tout, notamment les mesures réalisées par un laboratoire avec un réceptacle de forme humaine rempli de liquide où est plongée la sonde. Il revient également sur les suites en cas de non-conformité, avec la mise en demeure de celui distribuant le smartphone et la prononciation de sanctions financières, voire le retrait du smartphone et le rappel des unités déjà vendues (ce fut notamment le cas de l’Echo Horizon Lite).

Des évolutions autour du DAS

Rappelons que la législation autour du DAS a récemment évolué, afin de mieux informer le consommateur sur fond de multiplication des objets connectés. Depuis le 1er juillet 2020, il s’étend ainsi au-delà des téléphones mobiles pour concerner l’ensemble des équipements radioélectriques prévus pour un usage à proximité du corps humain et dont la puissance moyenne maximale est supérieure à 20 mW, englobant ainsi certaines montres connectées, les casques sans-fil et les tablettes tactiles. Le DAS doit être indiqué dans les notices et les publicités, mais aussi sur les lieux de vente à proximité des appareils concernés. Free s’est d’ailleurs mis en conformité.

Rappelons également que les contrôles seront renforcés sur fond de déploiement de la 5G en France. 70 appareils ont été contrôlés en 2019. L’ANFR en contrôlera 140 en 2021, en ciblant particulièrement les modèles 5G.

Classés sous les catégories : Non classé