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2 ans et demi après La Réunion mais surtout après plusieurs mois d’investissement afin de rénover l’ensemble de son réseau mobile, l’opérateur de Xavier Niel et de Hassanein Hiridjee lance enfin la 4G grand public à Mayotte via la marque Only.

 

*  image 1 recherche de réseau effectuée le 1 octobre depuis un autre operateur 

 fait le 29 octobre 2019 depuis une sim Only Mayotte

En effet depuis le 1 octobre 2019, les nouveaux clients qui souscrivent à un forfait « massama » ou « Mwaha Mastéréhi », mais également les anciens clients (via un simple changement de sim) profitent du nouveau réseau 4G disponible dans les 4 coins de l’île parfum sans augmentation tarifaire. Une avant première avant un probable lancement de la marque Free qui commence a se faire languir sur le département.

Les offres de Only :

 

Le tableau des fréquences 4G delivrées aux opérateurs à Mayotte par l’Arcep:

 

Selon l’ANFR TELCO OI a pour l’instant mise en service uniquement les bandes 4G 800Mhz et 1800Mhz.

Selon le site de l’opérateur et les retours que nous avons eu seul la 4G “Ready” (sans agrégation) est disponible avec un débit théorique de 70Mb/s.

Xiaomi tease l’arrivée d’un smartphone équipé d’un capteur photo 108 Mégapixels. La France y aura droit avec le retour de la gamme Mi Note.

Xiaomi a annoncé le retour prochain de sa gamme de smartphones Mi Note, avec l’arrivée en France d’un Mi Note 10 doté de cinq capteurs photo dorsaux. Et parmi eux, on trouve un module principal 108 Mégapixels.

En amont, le constructeur a teasé une annonce le 5 novembre d’un smartphone Mi CC9 Pro destiné à la Chine. Lui aussi est équipé de cinq capteurs photo, dont un de 108 Mégapixels qui sera sans doute fourni par Samsung, comme avec le Xiaomi Mi Alpha. Le Mi Note 10 en serait donc la version renommée pour le marché hexagonal.

Voilà qui permet de se faire une idée des autres caractéristiques, avec le teasing et les rumeurs autour du Mi CC9 Pro. Les quatre autres capteurs photo serviraient ainsi à l’ultra grand-angle (120 degrés), au zoom optique (x5), à la macrophotographie et au mode portrait. Il se murmure aussi qu’il embarquerait un chipset Snapdragon 730G le positionnant en milieu de gamme, abriterait une batterie 4 030 mAh et supporterait la charge rapide 30 Watts en filaire.

Le service de streaming musical de Google qui devrait, à terme, remplacer Google Play Musique accueille enfin un widget à placer sur l’écran d’accueil de nos smartphones.

L’application est de plus en plus mise en avant par Google, avec notamment son installation d’office sur les smartphones sous Android 10 à la place de Play Musique. Cependant, l’application manquait encore d’un aspect important pour une plateforme de streaming musical : un widget sur l’écran d’accueil.

C’est surprenant de la part de Google, mais l’application n’offrait pas encore cette fonctionnalité et techniquement, celle-ci n’est même pas accessible via le playstore pour l’instant. C’est 9to5Google, relayé par Frandroid, qui a repéré cette fonctionnalité sur la version 3.39 de l’application, uniquement disponible sur l’APK de YouTube Music pour le moment.

Concernant le widget, il ne propose rien de révolutionnaire, simplement la possibilité de mettre en pause votre musique, de la liker ou non et de passer un morceau.

 

Google a récemment sorti ses Pixel 4 et PIxel 4XL, mais la réception n’est pas toute rose. Des critiques ont vite émergé et le fabricant OnePlus en a profité pour faire un petit tacle au géant américain.

L’une des critiques principales pour la nouvelle génération de smartphones Google est son écran, avec des bords assez imposants mais aussi une annonce d’un taux de rafraichissement de 90Hz, qui varie selon le rétroéclairage.

Avec sa gamme OnePlus 7T, le fabricant chinois propose un écran avec ce taux de rafraichissement, mais sans limite, comme le compte officiel français aime à le rappeler sur Twitter.

Une pique bien sentie, à laquelle Google n’a pas encore répondu. Cependant, il est bon de rappeler que même le OnePlus 7T perd un petit peu de fréquence de rafraichissement lorsque certaines applications ne sont pas compatibles par exemple.

La firme d’Alphabet a également indiqué qu’il allait proposer une option permettant de débrider la fréquence de rafraichissement de son écran. Si le géant limitait le taux, c’était notamment pour économiser la batterie de ses appareils.

Après l’intervention de l’ANSES il y’a quelques jours, le gouvernement a décidé de suivre les recommandations de l’autorité sanitaire en proposant plusieurs points visant à éviter l’exposition à trop d’ondes.

L’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire a publié le 21 octobre dernier une liste de recommandations visant à durcir les procédures de contrôle d’émission d’ondes des smartphones. Un appel entendu par le gouvernement, en la présence du ministère de la transition écologique et solidaire qui a publié aujourd’hui un communiqué en ce sens, expliquant les diverses mesures de l’Etat.

L’une des demandes de l’ANSES concernait le mode d’expérimentation pour déterminer le délai d’absoption spécifique (DAS) des smartphones, en effectuant des tests collé au corps et non à une certaine distance. Le gouvernement a ainsi annoncé qu’il allait soumettre à la Commission Européenne une demande pour que les tests d’homologation soient réalisés au contact de l’appareil, contre une distance maximum de 5mm auparavant. De cette manière, le DAS observé sera plus représentatif quant à l’exposition réelle des utilisateurs aux ondes.

Un autre point concerne l’ANFR, avec deux mesures. La première concerne son application “Open Barres”, qui sera complétée d’ici la fin de l’année. Le but de l’application, lancée en 2018, était initialement de diagnostiquer la qualité du réseau mobile de l’utilisateur, mais il y sera également ajouté une fonctionnalité permettant de connaître l’émission d’ondes du modèle concerné.
Il sera également ajouté sur le site de l’ANFR et sur l’application la distance d’usage recommandé pour l’utilisation de smartphones. A noter également que le contrôle de l’ANFR des produits mis sur le marché sera accru, d’après le gouvernement, de 30% en 2020.

Le Gouvernement s’est également engagé dans son communiqué pour réunir les principaux constructeurs et faire appel à leur engagement pour mettre à jour les modèles mis sur le marché avant le durcissement des normes de 2016.

Le Ministère a également rappelé ses conseils pour limiter son exposition aux fréquences, avec 6 points, à savoir:

1.    Utiliser un kit main-libre
2.    Privilégier les messages texte pour communiquer
3.    Privilégier les zones de bonne réception
4.    Éviter de maintenir votre téléphone à l’oreille dans les transports
5.    Choisir un téléphone mobile ayant un débit d’absorption faible
6.    Eviter les conversations trop longues

 

Une vidéo pour rappeler les principales cyberattaques sur mobile et les manières de s’en protéger.

Avec un nombre important de personnes victimes chaque année d’une cyberattaque sur le mobile, une piqûre de rappel concernant les vecteurs d’attaques n’est pas superflue. Orange y va ainsi d’une petite vidéo sur sa chaîne YouTube pour lister les cyberattaques les plus courantes et les moyens de s’en protéger.

Il y a tout d’abord les applications mobiles malveillantes. Un risque que l’on peut réduire en téléchargeant uniquement depuis les plates-formes officielles telles que l’App Store et le Play Store. Installer une solution de sécurité de type antivus fait également partie des bonnes idées.

Il y a ensuite le phishing par e-mail ou le smishing par SMS, des messages renvoyant vers des sites frauduleux pour vous inciter à fournir vous-mêmes vos données de connexion et vos données personnelles. Sans oublier l’attaque de type Man in the Middle qui consiste à intercepter les données envoyées et modifier les données  reçues par une personne connectée à un réseau Wi-Fi peu sécurisé.

Honor vient d’annoncer un smartphone 9X en France qui profite des services de Google tels que le Play Store.

Malgré la perte de la licence Android, Huawei et Honor continuent d’annoncer des smartphones profitant des services de Google. Le constructeur chinois et sa marque s’appuient sur les modèles certifiés en amont. Après le Huawei Nova 5T, en fait un Honor 20 renommé, voici le Honor 9X, un mélange entre les Honor 9X et Honor 9X lancés il y a quelques mois en Chine.

Le Honor 9X qui arrivera le 6 novembre en France, avec un prix de 249 euros, proposera 4 Go de RAM et 128 Go de stockage extensible par MicroSD. Il aura un écran IPS 6,59 pouces Full HD+ sans bordure ni encoche ni poinçon, un triple capteur 48 + 8 + 2 Mégapixels au dos (principal + ultra grand-angle + infos de profondeur), un capteur à selfies 16 Mégapixels au format périscope et une batterie 4 000 mAh avec une charge filaire 10 Watts. Pas de chipset Kirin 810 comme les Honor 9X et Honor 9X Pro chinois, mais un chipset Kirin 710F. Côté logiciel, on aura une ROM Emotion UI basée sur Android 9.0 Pie en sortie de boîte.

La mise à jour prévue par Samsung pour corriger la faille des capteurs d’empreintes à ultrasons est désormais en cours de déploiement.

Depuis peu, une faille concernant le capteur d’empreintes digitales ultrasonique des Galaxy S10 avait été découverte par une utilisatrice britannique. Samsung avait donc annoncé qu’un patch correctif serait déployé dans la semaine, c’est aujourd’hui chose faite.

« Biometrics update » est donc le nom de cette nouvelle mise à jour qui corrigera le problème des protecteurs d’écran en silicone qui permettait à n’importe qui de déverrouiller un de ces terminaux avec une empreinte digitale, sans qu’elle soit enregistrée dans le smartphone.

Les utilisateurs ayant déjà enregistré des empreintes digitales sur des Galaxy S10, S10+, Note 10 et Note 10+ recevront une notification et seront invité à supprimer leurs empreintes digitales de l’appareil puis les enregistrer une nouvelle fois, sans aucun film protecteur.

Cette faille de sécurité liée au nouveau lecteur d’empreintes digitales ultrasonique de Samsung a même poussé certaines banques à désactiver ce système d’authentification de leurs applications, sur les modèles concernés.

Pour le moment, la mise à jour n’est déployée qu’en Corée du Sud cependant, elle sera probablement disponible rapidement pour les autres régions, puisque le problème concerne de nombreux modèles récents et haut de gamme de la marque.

Source : AndroidPolice

Samsung a révélé hier, son nouveau processeur maison, l’Exynos 990. Ce dernier animera les futur Galaxy S11 et Note 11.

Avec son nouveau processeur, le géant sud-coréen met fin aux processeurs portant un nom à quatre chiffres. En effet, ce nouveau processeur est baptisé Exynos 990, contrairement aux Exynos 9820 ou 9825 embarqué dans les Galaxy S10 et Note 10.

Ce nouveau processeur made in Samsung serait 20% plus rapide qu’auparavant, en utilisation quotidienne, mais également 20% supérieur au niveau de sa partie graphique. Ce nouveau SoC sera composé de huit cœurs dont deux conçus par Samsung qui géreront les tâches les plus énergivores. Il sera également composé de deux cœurs Cortex A76 ainsi que quatre cœurs A55 qui seront dédiés aux tâches moins gourmandes. L’Exynos 990 supportera une fréquence de rafraichissement jusqu’à 120 Hz. La marque pourrait agrémenter les futurs S11 et Note 11 de nouvelles dalles avec une haute fréquence de rafraichissement à l’instar de certains smartphones axés gaming ou encore des OnePlus 7 Pro, 7T et 7T Pro par exemple.

Gravé en 7nm EUV, le futur processeur mobile de Samsung sera capable de gérer jusqu’à six appareils photos sur un même terminal, dont trois en simultané. De plus, le processeur permettrait l’utilisation du nouvel objectif photo maison de Samsung d’une capacité de 108 mégapixels.

Le géant sud-coréen a également dévoilé lors du Samsung Tech Day son nouveau modem 5G. Nommé Exynos 5123, ce nouveau modem 5G fonctionnera de pair avec l’Exynos 990. Il offrira aux smartphones la possibilité de capter le réseau 5G avec une vitesse théorique de 8,36 Gb/s.

L’entreprise devrait présenter son prochain Galaxy S11 d’ici février 2020. Il va donc falloir s’armer de patience en attendant sa présentation.

Source : CNET

Une nouvelle peau artificielle pour smartphone a été mise au point. Elle a pour but d’améliorer les interactions sur smartphones ainsi que sur d’autres appareils.

Développée par des chercheurs français, cette nouvelle peau artificielle va permettre de détecter les interactions sur smartphone avec une sensibilité proche de la peau humaine et de les transmettre à un appareil grâce à son logiciel. Le concept est assez perturbant cependant, cette nouvelle matière imitant la peau humaine permettrait de communiquer des données tactiles à d’autres appareils tels que des smartphones, des ordinateurs, des montres connectées ou même des robots par exemple.

La vidéo de présentation de cette nouvelle technologie est assez explicite, elle montre plusieurs interactions possibles avec cette nouvelle matière, sur différent périphériques comme un smartphone, mais aussi une montre connectée par exemple. Les chercheurs voient à travers ce prototype, baptisé Skin-On, l’occasion d’améliorer les interactions homme/machine au niveau supérieur.

Cette seconde peau réagie comme un touchpad multipoint. Elle peut ainsi détecter des chatouilles, des pincements, des rotations, et même des caresses. Dans la vidéo de démonstration, on peut voir que Skin-On permet à un terminal de détecter si son utilisateur tient le smartphone de la main droite ou de la main gauche, afin d’automatiquement proposer des raccourcis pour droitier ou gaucher en fonction de la personne. On remarque également que des chatouilles sur la fausse peau humaine permettent d’envoyer l’emoji sourire et l’emoji surprise peut également être affiché après avoir donné une « fessée » au smartphone.

Le logiciel ainsi que le matériel sont open source. Skin-On détaille même sur son site officiel, la méthode afin de créer sa propre peau artificielle, qui est en réalité composée d’une grille d’électrodes, placées entre deux couches de silicone.

Source : Tom’s Guide