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La rédaction a testé le Moto G8 Plus, un smartphone proposant une expérience intéressante sans coûter une fortune

Dernièrement, nous vous avons proposé nos tests des Moto G7 Play, Motorola One Zoom, Motorola One Vision et Motorola One Action. Voici à présent celui du smartphone Moto G8 Plus, un modèle de milieu de gamme sous la barre des 300 euros.

Avant de passer à ce test, voici un rappel des principales caractéristiques du Moto G8 Plus qui nous a été prêté par la marque et qui s’affiche à 279 euros sur le site du constructeur :

 


La fiche technique


–  Processeur : octa-core jusqu’à 2,0 GHz (chipset Qualcomm Snapdragon 665)
–  Mémoire vive : 4 Go


–  Écran : dalle IPS 6,3 pouces avec une définition Full HD+ (2 280 x 1 080 pixels)
–  Audio : son stéréo produit par le haut-parleur d’appel et le haut-parleur de la tranche inférieure
–  Stockage : 64 Go (extensible, grâce à un emplacement hybride Nano-SIM/MicroSD)


–  Compatibilité 4G : support des bandes B1/B2/B3/B4/B5/B7/B8/B18/B19/B20/B26/B28/B38/B40/B41
–  Emplacement Nano-SIM / Nano-SIM/MicroSD dans un tiroir dans la tranche gauche
–  Compatibilité eSIM : non


–  Triple capteur au dos : 48 + 5 + 16 Mégapixels (principal + profondeur + action-cam ultra grand-angle 117 degrés)
–  Capteur à l’avant : 25 Mégapixels (dans une encoche goutte d’eau)


–  Branchement pour les écouteurs filaires : mini-jack (tranche supérieure)
–  Connectique de charge : port USB-C (tranche inférieure)
–  Wi-Fi : 802.11 a/b/g/n/ac
–  Connectivité Bluetooth : version 5.0
–  Support NFC : oui


–  Batterie : 4 000 mAh (non amovible)
–  Recharge en filaire avec le bloc 15 Watts fourni (TurboPower)
–  Recharge sans-fil : non


–  Système d’exploitation : Android 9.0 Pie


–  Solutions de déverrouillage : reconnaissance faciale avec le capteur photo frontal ou lecteur d’empreintes digitales au dos dans le logo Motorola
–  Patchs de sécurité installés durant notre test : novembre 2019


 

Un smartphone passe-partout et glissant

 

Le Moto G8 Plus ne sort pas du lot avec son design, ce qui ne l’empêche pas d’être agréable à regarder. Sauf évidemment lorsque l’on ne parvient pas à virer totalement les poussières que sa coque accroche vraiment bien. Tout comme les traces de doigt, d’ailleurs. Une vraie plaie pour nos photos d’illustration.

En main, le gabarit du Moto G8 Plus rend la prise en main agréable. La coque de protection fournie ne sera en revanche pas de trop pour éviter que le smartphone ne glisse des mains. La coque lui confère un effet savonnette. Mieux vaut prévenir les maladroits.

 

Un écran un peu terne, mais un son puissant et stéréo

 

À l’usage, ce n’est pas l’encoche goutte d’eau qui dérange ou la définition qui fait défaut. Sur ces aspects, le Moto G8 Plus s’en sort bien. En revanche, nous avons trouvé l’écran un peu terne au niveau des couleurs. Le réglage des couleurs dans les paramètres n’y change pas grand-chose. Pas folichon, mais pas catastrophique non plus.

Côté son, rien à redire. On a de la puissance, du relief, un début de basses et du stéréo. Le haut-parleur d’appel est combiné avec le haut-parleur d’écoute pour un son stéréo. Plaisant en jeu ou en vidéo.

Toujours dans le chapitre son, le mini-jack répond présent.

Les écouteurs filaires fournis, sans être extraordinaires, sont d’ailleurs agréables à utiliser. Les aigus n’agressent pas les oreilles et on a assez de basses.

 

Une partie intéressante intéressante, mais avec quelques manques

 

Du côté de la photo, on a deux capteurs, un de 48 Mégapixels en principal et un de 5 Mégapixels pour les infos de profondeur. Le troisième est dédié à la vidéo et permet de filmer en mode paysage avec un angle de 117 degrés, tout en gardant en le smartphone à la verticale. Pratique.

Bref, pas de capteur dédié au zoom et à l’ultra grand-angle en photo. Quant au mode nuit, il parvient vraiment à apporter un mieux en redonnant de l’éclairage.

Ci-dessous, des photos de jour, en extérieur :

Une photo en extérieur, puis ses versions zoomées en 3x et 8x (pas de miracle sans capteur dédié, ça devient moche avec un zoom à fond) :

Des photos de nuit, avec leurs versions corrigées par le mode “Vision de nuit”, matérialisé par un croissant de lune et suggéré automatiquement lorsque la basse luminosité est détectée :

Deux modes portrait de jour, en intérieur :

Un selfie de jour en extérieur :

 

Un support de la 4G 700 MHz

 

Le Moto G8 Plus supporte la B28, soit la 4G 700 MHz, sur laquelle a beaucoup misé Free. Un bon point pour les abonnés de l’opérateur de Xavier Niel. Il permet de dépasser les 100 Mbit/s en réception en extérieur dans une zone bien couverte et d’avoir des débits corrects en intérieur. Ci-dessous, des mesures de débits en extérieur :

 

Puis en intérieur, depuis une zone résidentielle et la salle de rédaction :

 

 

De quoi jouer

 

Avec un chipset Snapdragon 665 à bord et une mémoire vive 4 Go, le Moto G8 Plus offre une interface fluide et permet d’envisager du jeu dans de bonnes conditions. Lors de nos sessions de Call of Duty Mobile et d’Asphalt 9, nous n’avons jamais noté de chauffe inquiétante, ou même simplement dérangeante.

Pour les amateurs de benchmarks, AnTuTu positionne le Moto G8 Plus entre un Samsung Galaxy A50 et un Honor 9X. L’outil Disk Speed, qui mesure les vitesses d’écriture et de lecture de la mémoire interne, indique 245 et 155 Mo/s.

 

 

Une autonomie très confortable

 

Avec sa batterie 4 000 mAh, le Moto G8 Plus s’annonce endurant sur le papier. Et il l’est à l’usage. Tenir la journée est une formalité. Envisager deux jours s’annonce possible si vous n’avez pas un usage très poussé.

Ci-dessous, deux exemples d’utilisation :

(1er cas) Départ à 11h14 avec 100 % et arrivée le lendemain à 19h57 avec 29 % :

– 1 heure de streaming audio avec le son du smartphone
– 1 heure de streaming audio avec les écouteurs Bluetooth
– 45 minutes de YouTube avec le son du smartphone
– 40 minutes de jeu avec le son du smartphone
– Consultation et alertes Twitter
– Consultation et alertes Gmail
– Surf sur Internet
– 1 heure et 20 minutes de partage 4G via le Wi-Fi
– Quelques SMS
– Photos
– 37 mises à jour d’applications
– 2 gros téléchargements (jeux)
– Benchmarks

(2e cas) Départ à 23h32 avec 100 % et arrivée le surlendemain à 20h56 avec 4 %
– 55 minutes de jeu avec le son du smartphone
– 2 heures et 40 minutes de streaming audio avec le casque Bluetooth
– 10 minutes de streaming audio avec le son du smartphone
– 25 minutes de jeu avec l’enceinte Bluetooth
– 20 minutes de YouTube avec l’enceinte Bluetooth
– 20 minutes de YouTube avec le son du smartphone
– Consultation et alertes Twitter
– Consultation et alertes Gmail
– Surf sur Internet
– SMS

 

De son côté, le chargeur 15 Watts fourni d’office permet de faire le plein dans un laps de temps acceptable. Pas de charge sans-fil, par contre. Ci-dessous, un suivi de charge : 

– 9h31 : 31 %
– 9h39 : 40 %
– 9h44 : 45 %
– 9h52 : 54 %
– 10h03 : 66 %
– 10h24 : 86 %
– 10h31 : 94 %
– 11h14 : 100 %

 

 

Une partie logicielle pas très à jour

 

Si elle reste agréable à utiliser, la partie logicielle du Moto G8 Plus n’est pas la plus à jour. Non seulement on a une base Android 9.0 Pie, mais en plus les patchs de novembre 2019.

 

 

Elle propose en revanche des choses pratiques comme une aide à la prise en main de l’appareil claire et complète. On a également une gestion avancée de la gestuelle (section Moto dans les paramètres ou le tiroir d’applications) : allumage de la lampe torche avec deux gestes tranchants de la main, capture d’écran à l’aide des trois doigts, etc. On trouve d’ailleurs d’autres gestes dans la section Système. Nous vous conseillons toutefois de désactiver l’affichage du panneau de notifications avec le passage du doigt sur le lecteur d’empreintes au dos. Un affichage demandé et répété a vite fait d’agacer.

 

 

L’interface du G8 Plus n’est pas blindée d’applications partenaires. Vous trouverez l’application Facebook, qui pourra être désinstallée.

Parlons enfin des solutions de sécurisation, à savoir le lecteur d’empreintes dans le logo Motorola au dos et la reconnaissance faciale avec le capteur photo frontal. Concernant la première, elle a nécessité trois enregistrements des empreintes avant de fonctionner correctement, mais a continué de générer des ratés. La seconde fonctionne plutôt bien. Bref, rien de dramatique en soi, mais cela aurait pu être mieux.

 


VERDICT

Le Moto G8 Plus n’est pas celui qui chamboulera tout, tant en termes de design que de fiche technique. C’est en revanche un smartphone offrant une expérience globalement satisfaisante, celui dont on ne regrettera pas l’achat. Il nous a surtout marqués par son rendu sonore vraiment sympa en multimédia, son autonomie très confortable et son interface pas trop chargée. Pour les abonnés Free Mobile, il aura comme atout son support de la 4G 700 MHz. 

S’il vaut bien ses 279 euros, on lui préfère le Redmi Note 8 Pro plus polyvalent en photo et plus à l’aise en multimédia avec son chipset taillé pour le jeu mobile, mais également mieux loti en termes de batterie et de charge rapide


 

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Samsung dévoile son prochain smartphone pliable avant même son annonce officielle

Alors que le lancement officiel du Samsung Galaxy Z Flip est prévu pour demain 11 février, Samsung a tout de même dévoilé son prochain modèle dans une publicité, diffusée lors des Oscars.

Une courte publicité qui dévoile tout de même le design final et les capacités de la caméra, mais aussi des exemples d’utilisation avec notamment le smartphone plié à 90°.

Le fabricant ne cherche pas à dissimuler le pli du smartphone, qui fait entièrement partie du design. Comme c’est montré lorsque le smartphone est montré “assis” (plié à 90°), il fera bien la séparation lors d’une conversation vidéo par exemple entre la vidéo et les fonctionnalités d’appel. On note également la présence de Google Duo, qui devrait être intégré nativement dans la messagerie de Samsung d’après des rumeurs.

La présentation du smartphone se fera lors de l’événement Unpacked qui se tiendra le 11 février, soit demain, il sera aux côtés des Samsung Galaxy S20, la nouvelle gamme du fabricant. Le modèle représente en tout cas un véritable tournant par rapport au Galaxy Fold, lancé l’année dernière.

Source : GSMArena

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Apple écope d’une amende record pour pratique commerciale trompeuse concernant des iPhones

Apple vient d’être condamné pour avoir ralenti certains modèles d’iPhone durant l’année 2017.

Les utilisateurs d’iPhone 6, SE ou 7 s’en souviennent certainement : la mise à jour d’iOS durant l’année 2017 avait entraîné un ralentissement de milliers d’appareils. L’affaire avait été portée en justice le 5 janvier 2018 pour une conclusion aujourd’hui. La direction des fraudes a alors condamné Apple à une amende 25 millions d’euros.

Il s’agit ici de la plus forte amende jamais infligée par la répression des fraudes. Le fabricant américain devra également publier un communiqué sur son site concernant cette décision. Apple a accepté la sanction sans broncher et, contacté par nos confrères du Parisien, se dit ” heureux de cette issue avec la DGCCRF “. Le fabricant avait d’ailleurs pris acte des plaintes et s’était excusé en 2017, en proposant également de fortes remises sur les batteries d’iPhone 6 à l’époque.

Cependant, même si la plainte initiale provenait d’une association accusant la Pomme d’obsolescence programmée, l’enquête “n’a pas mis en évidence ” cette pratique “au sens juridique” d’après Loïc Tanguy, directeur de cabinet.

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Play Store : 9 applications Android infectées ont été téléchargées plus de 400 000 fois

Trend Micro révèle qu’un malware était présent dans 9 applications du Play Store de Google. Ces applications vérolées ont cumulé plusieurs centaines de milliers de téléchargements.

Dans un rapport, Trend Micro révèle en effet que 9 applications vérolées ont généré plus de 470 0000 téléchargements. Plusieurs d’entre elles ont même enregistré plus de 100 000 téléchargements individuellement. Promettant des optimisations en supprimant les fichier inutiles, celles-ci abritaient en fait un malware. Ci-dessous, la liste des applications – supprimées entre temps par Google – avec les nombres de téléchargements correspondants :

Comme l’explique Trend Micro, le malware peut mettre l’utilisateur et ses données personnelles en péril en installant d’autres applications malveillantes et en se connectant avec ses comptes Google/Facebook, mais aussi engendrer une charge inutile en simulant des clics sur des publicités malveillantes ou en publiant des critiques positives. 

Comme à l’accoutumée, l’utilisateur est invité à privilégier les plates-formes d’applications officielles tout en évitant les applications qui en promettent un peu trop, en gardant un oeil critique sur les avis des utilisateurs (trop d’avis positifs similaires sur une courte période, par exemple) et en ayant au préalable installé une solution de sécurité.

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Les chiffres de la pollution numérique, en passe de devenir un vrai problème

Le numérique, c’est fantastique. Voilà qui sonne bien. Sauf que le numérique tel qu’il est consommé aujourd’hui a aussi des répercussions en termes de pollution. Découvrez le phénomène à travers quelques chiffres et quelques conseils de bons sens pour agir quotidiennement à votre niveau.

Si le numérique a de bons côtés comme l’accès à l’information pour tous et depuis n’importe où, les contenus en nombre et la facilité de communication avec le monde entier à moindre coût, il a également quelques revers comme l’hyperconnexion et la pollution engendrée. Le site Qu’est-ce qu’on fait ?! a justement publié une infographie où il donne des chiffres pour mieux prendre conscience de cette pollution liée au numérique et comment chacun peut participer à la réduction de celle-ci.

L’infographie souligne que le numérique génère 3,8 % des gaz à effet de serre du monde, soit plus de pollution que l’aviation civile. Il pourrait ainsi devenir, à terme, la première source mondiale de pollution.  “Si le numérique était un pays, il aurait environ 2 à 3 fois l’empreinte environnementale de la France”, est-il indiqué. En cause, la production des appareils, mais aussi le fonctionnement des appareils et services. Au niveau de la chaîne de production, il y a la pollution liée à la fabrication et à la livraison des appareils. Sans oublier la consommation de ressources primaires (minéraux et eau). Concernant les services et le fonctionnement des appareils au quotidien, il y a la consommation résultant du fonctionnement parfois inutile des appareils ou la consommation liée aux serveurs constamment sollicités en raison d’une consommation continue et toujours plus importante de contenus gourmands en ressources.

Ces données nous invitent à changer notre manière de consommer. Il y a tout d’abord le fait de garder plus longtemps ses appareils en prenant soin d’eux et en changeant quand cela devient réellement nécessaire, mais aussi éviter le sur-équipement. S’orienter autant que possible vers de l’occasion aide aussi à allonger la durée de vie des appareils. La mise en lumière d’une telle pollution liée au numérique invite ainsi à changer ses habitudes de consommation de vidéo (éviter une définition trop élevée, regarder les contenus qui valent vraiment le coup), à revoir son usage des réseaux sociaux (sur-connexion, partage massif de photos HD, défilement sans fin et sans but), à alléger ou limiter ses e-mails (supprimer les e-mails devenus inutiles, limiter les pièces jointes, etc.) et à revoir sa façon de recherche sur Internet (privilégier les favoris pour aller sur les sites que l’on connait, mieux choisir ses mots-clés de recherche, etc.). Éteindre totalement un appareil inutilisé apparaît aussi comme une bonne idée. Cela vaut pour une tablette ou un téléviseur, mais aussi pour un box Internet et un player, surtout la nuit. Quelques chiffres : un an de recherche Internet équivaut à la consommation énergétique d’un pays comme la Norvège, un e-mail représente 25 minutes de fonctionnement d’une ampoule et les 2,7 milliards de vues de la vidéo Gangnam Style correspondent à la consommation annuelle d’une petite centrale nucléaire. Il y a également le fait de privilégier le Wi-Fi par rapport à la 4G, quand c’est possible. Le réseau mobile consommerait de 5 à 25 fois plus que le Wi-Fi. D’ailleurs en parlant de connectivité, on peut envisager la désactivation du Bluetooth, du GPS, du Wi-Fi et de la 4G, quand ils ne sont pas nécessaires.

On pourrait conclure en rappelant que moins de temps consacré à la vie numérique, c’est également plus de temps pour la vie réelle.

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Netflix : le géant du streaming apporte une amélioration pour les utilisateurs les moins bien lotis

Le service de SVOD Netflix apporte une amélioration à ses utilisateurs sous Android.

Si vous utilisez Netflix principalement sur votre smartphone ou votre tablette tactile, voilà une amélioration annoncée par le géant du streaming vidéo qui pourrait vous intéresser. Elle concerne plus précisément les utilisateurs sous environnement Android. Sur son blog, Netflix a en effet annoncé l’usage de la norme de compression AV1, au lieu de la norme VP9. Le groupe américain indique avoir utilisé les travaux autour de la compression dav1d, utilisée par le lecteur multimédia VLC, et promet une compression 20 % plus performante. 

Plus concrètement, côté utilisateurs, les contenus pèseront moins lourd, ce qui rendra les temps de téléchargement moins longs et les fichiers moins volumineux pour ceux qui récupèrent les vidéos en vue d’une consultation hors ligne. Bref, intéressant pour ceux n’ayant pas beaucoup de débit, pas beaucoup de data mobile avec leur forfait, pas beaucoup de place sur leur appareil ou combinant les trois paramètres à la fois.

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Huawei, Xiaomi, Oppo et Vivo s’allient pour concurrencer le Play Store de Google

Le conflit entre Huawei et les Etats Unis prends des proportions surprenantes du côté des fabricants de smartphones chinois. Quatre des plus gros ont joint leurs forces pour développer une plateforme d’applications, pouvant concurrencer le Play store de Google.

Face à l’interdiction pour Huawei d’utiliser les services Google, dont le Play store, le fabricant avait déjà du réagir. Il avait ainsi annoncé développer App Gallery, sa propre plateforme en prévoyant, entre autre, d’intégrer les 150 applications les plus populaires de chaque pays dans sa boutique.

Mais l’affaire vient de prendre un nouveau tournant. On apprend en effet par Reuters que Xiaomi, Vivo et Oppo se sont alliés à la firme de Shenzhen pour développer un concurrent chinois de la plateforme de Google. Il s’agit ici d’une plateforme commune pour les développeurs qui souhaitent créer des applications et les déployer à l’étranger. Les quatre constructeurs sont déjà habitués à compter sur leur propre magasin d’application, Google et son Play Store étant bannis de Chine.

Une nouvelle alliance est donc née, nommée Global Developer Service Alliance (GDSA). Un site prototype a été lancé, annonçant que son programme couvrirait neuf “régions”, dont la Russie, l’Indonésie et l’Inde. Cependant, d’après les dires d’analyste, cette alliance permettra de faciliter l’exportation d’applications sur plusieurs plateformes et donc pour ces fabricants de proposer plus d’applications.

Pour l’heure, aucune annonce officielle pour l’annonce de ce partenariat en Europe. Les quatre fabricants chinois ont refusé de commenter l’information de Reuters.

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5G : l’Europe s’intéresse aux pratiques concurrentielles du géant Qualcomm

 

Alors qu’il surfe sur l’arrivée de la 5G, Qualcomm fait l’objet d’une enquête de la part de la Commission européenne à propos de pratiques anti-concurrentielles.

Qualcomm a déjà l’objet de plusieurs enquêtes concernant ses pratiques en matière de concurrence. Lors de la publication de ses derniers résultats financiers, le géant de San Diego, connu pour les plates-formes mobiles que l’on retrouve à bord des smartphones et montres connectées, a fait savoir que la Commission européenne en avait ouvert une dernièrement.

Bruxelles s’intéresse en effet aux pratiques de Qualcomm sur le marché des smartphones 5G, où ses plates-formes Snapdragon se retrouvent en concurrence avec les solutions Dimensity, Exynos et Kirin de MediaTek, Samsung et Huawei. Intel, lui, a décidé de s’éloigner de la 5G dans les smartphones. Il s’agit en effet de s’assurer que le géant de San Diego profite de la 5G, mais tout en restant dans les clous, en ne faisant rien pour entraver la concurrence. Dans le cas de pratiques anticoncurrentielles avérées, l’amende prononcée peut représenter jusqu’à 10 % du chiffre d’affaires. Voilà pourquoi le dossier n’est pas pris à la légère par Qualcomm.

Source : ZDNet

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Smartphones Android : le classement des modèles les plus performants

Le benchmark AnTuTu publie tous les mois ses classements des smartphones Android les performants. Voici ceux pour le mois de janvier 2020.

Il y a tout d’abord le classement pour les smartphones haut de gamme. Le podium est occupé par Vivo avec ses modèles iQOO Neo 855, iQOO Pro 5G et Nex 3 5G. De la 4e à 10e place, on retrouve les OnePlus 7T Pro, OnePlus 7T, Asus ROG Phone 2, Realme X2 Pro, Honor V30 Pro 5G, Oppo Reno Ace et Huawei Mate 30 Pro 5G. Hormis ceux de marque Huawei et Honor qui font logiquement appel au chipset maison Kirin 990, les smartphones de ce Top 10 s’équipent des puces Snapdragon 855 et Snapdragon 855+. D’ici peu, avec la proximité du MWC, on devrait voir arriver des smartphones équipés de la nouvelle puce haut de gamme de Qualcomm, le Snapdragon 865. Voilà qui promet un classement différent.

Il y a ensuite le classement pour les smartphones milieu de gamme. Cette fois-ci, Qualcomm n’est plus très seul. Il se retrouve en concurrence avec MediaTek et Samsung. Sa récente puce Snapdragon 765G se retrouve dernière les chipsets Dimensity 1000L et Exynos 980 à bord des Oppo Reno3 5G et Vivo X30 Pro 5G. On retrouve également la puce Kirin 810 dans les smartphones Honor 9X, Huawei nova 6 SE et Honor 20S.

Soulignons qu’il s’agit là de classements reposant sur les performances brutes qui ne suffisent pas à définir l’expérience côté utilisateur. D’autres paramètres sont en effet à prendre en compte comme la qualité de l’écran, les performances réseau, l’autonomie ou l’interface logicielle.

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Malware sur Android: 24 applications populaires mettent en danger les données personnelles des utilisateurs

Un nouveau rapport vient de tomber mettant en cause 24 applications siphonnant les données personnelles des utilisateurs. Elles totalisent presque 400 millions de téléchargements.

Le rapport émane de VPNPro et met en cause plus d’une vingtaine d’applications disponibles sur le Play Store d’Android. Ces applications ont été développées par une firme chinoise nommée Shenzhen HAWK et couvrent plusieurs domaines : la météo, la photo, les calendriers et bien d’autres encore… 

Ces applications, d’après VPNPro qui a relayé l’alerte ,”demandent énormément de permissions“, ce qui peut mettre les données privées des utilisateurs en danger.  Les suspicions sont d’autant plus renforcées du fait que cette entreprise a déjà été mise en cause pour des pratiques similaires. Réunies, ces applications totalisent plus de 382 millions de téléchargements sur le store de Google.

La liste des applications est la suivante: SuperCleaner, SuperBattery, Virus Cleaner 2019, Hi Security 2019, Hi VPN Free VPN, Hi VPN Pro, NetMaster, CandyGallery, File Manager, Sound Recorder, Joy Launcher, Turbo Browser, Weather Forecast, Calendar Lite, Candy Selfie Camera, Private Browser, World Zoo, Puzzle Box, Word Corssy, Soccer Pinball, Digg it, Laser Break, World Crush et Music Roam.  Il est donc recommandé de les désinstaller, Google n’ayant pas encore pris de mesures pour supprimer ces applications du Play Store. Cependant, la firme de Mountain View a affirmé qu’elle analyserait la situation et agira si elle l’estime nécessaire.

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