Auteur : dimitri

5G : Huawei compte avoir sa part du gâteau et va taxer les constructeurs de smartphones

Dans une situation compliquée depuis deux ans, Huawei cherche des solutions pour générer de nouveaux revenus. Disposant d’un grand nombre de brevets autour de la 5G, il aurait d’ailleurs une idée.

L’embargo américain a coûté cher à Huawei. Il a écarté le groupe chinois du déploiement de la 5G dans plusieurs pays et lui a fait perdre des parts de marché dans le domaine des smartphones. Assez logiquement, celui-ci cherche des moyens de renflouer les caisses. D’autant plus que la récente arrivée de Joe Biden à la maison blanche ne semble pas prête, au moins pour l’instant, d’améliorer la situation.

Fin 2020, Huawei a ainsi cédé sa branche Honor, la libérant au passage des restrictions liées à l’embargo américain telles que l’accès aux composants et aux services de Google. Selon CNBC, le géant asiatique étudierait à présent l’idée d’une taxe lui permettant de rentabiliser ses travaux dans le domaine de la 5G et donc de créer une nouvelle source de revenus. Elle serait payée par les fabricants de smartphones.

Huawei est en effet le premier détenteur de brevets autour de la 5G. Il en possède 3 007 brevets. De quoi augmenter la probabilité qu’un appareil ait recours à ses technologies. D’ailleurs, 18,3 % des brevets autour de la 5G détenus par Huawei seraient exploités. La firme de Shenzhen envisagerait ainsi de réclamer jusqu’à 2,50 euros par smartphone 5G vendu et utilisant l’une de ses technologies. Un système de royalties qui n’a rien de nouveau en soi, avec la clé la possibilité de récupérer entre 1,2 et 1,3 milliard de dollars pour la période 2019-2021.

Source : CNBC via Frandroid

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Test du Huawei Y6p : quelle expérience avec ce smartphone à petit prix sans les services de Google ?

Désormais positionné sous la barre des 150 euros, le Huawei Y6p s’adresse aux petits budgets. Celui-ci met en avant une grosse batterie pour une solide autonomie et un triple capteur photo. Mais un autre aspect interpelle : l’absence des services de Google et donc du Play Store. Nous l’avons testé pendant une semaine et voici nos impressions à son sujet.

Avant de passer au test, rappelons les principales caractéristiques de l’exemplaire acquis par nos propres moyens :

 


Fiche technique du Huawei Y6p : les caractéristiques


–   Processeur : octa-core jusqu’à 2,0 GHz (chipset Helio P22)
–   Mémoire vive : 3 Go


–   Écran : dalle IPS 6,3 pouces
avec une définition HD+ (1 600 x 720 pixels)
–   Audio : son sortant de la tranche inférieure
–   Stockage : 64 Go extensible par carte MicroSD (jusqu’à 512 Go)


–   Deux logements Nano-SIM accessibles depuis un tiroir de la tranche gauche
–   Compatibilité 4G : support des bandes 1/2/3/4/5/7/8/20/28
–   Compatibilité 5G : non


–   Triple capteur photo au dos (organisation en ligne) : 13 + 5 + 2 Mégapixels
–   Capteur photo à l’avant : 8 Mégapixels dans une encoche goutte d’eau


–   Prise casque 3,5 millimètres : oui (tranche inférieure)
–   Connectique de charge : Micro-USB (tranche inférieure)
–   Support Wi-Fi : version 802.11n
–   Connectivité Bluetooth : version 5.0
–   NFC : oui


–   Batterie : 5 000 mAh non amovible
–   Recharge filaire : support de la charge 10 Watts (bloc 5V/2A inclus dans la boîte)
–   Recharge sans-fil : non


–   Système d’exploitation : Android 10 avec l’interface EMUI 10.1


–   Solutions de déverrouillage : reconnaissance faciale avec le capteur photo frontal
ou lecteur d’empreintes digitales au dos
–   Patchs de sécurité installés durant notre test : décembre 2020


 

Une finition plutôt correcte pour le prix

Visuellement, le Huawei Y6p est loin d’être moche. Maintenant, l’épais menton au niveau de l’écran, l’encoche goutte d’eau pour le capteur photo avant et la présence de la connectique Micro-USB rappellent le positionnement entrée de gamme. Au même titre que les vibrations perceptibles au niveau du dos en posant un peu vite le smartphone sur la table ou en tapotant avec le doigt.

En main, le smartphone est agréable avec ses tranches arrondies, sa coque douce, son bloc photo bien intégré et son lecteur d’empreintes tombant naturellement sous le doigt.

Enfin, autant prévenir les plus maniaques, la coque accroche énormément les traces de doigt et les petites poussières.

Écran HD+ et son mono

Côté écran, on a le minimum syndical : dalle IPS, définition HD+ et encoche goutte d’eau pour le capteur photo. À l’usage, l’écran du Huawei Y6p n’a jamais posé de problème en termes d’angles de vision et de luminosité. Il fait tout simplement le boulot. Notez qu’on peut régler la chaleur d’affichage dans les paramètres.

Côté audio, pas de stéréo, mais un son puissant avec du relief. Un bon petit son d’appoint lorsque le smartphone est calé dans une étagère. Une bonne surprise pour un smartphone à petit prix.

On a également le mini-jack dans la tranche inférieure, non loin du haut-parleur d’écoute et du port de charge. Les écouteurs fournis ne sont pas d’ailleurs ni mauvais ni excellents. Peut-être un trop chargé en médiums, par moment. Au moins n’a-t-on pas envie de s’en débarrasser aussi sec.

Une partie photo (un peu) meilleure qu’attendu

Au niveau de la photo, on a un capteur principal 13 Mégapixels associé à deux capteurs 5 et 2 Mégapixels. Les amateurs de seflies trouveront un module 8 Mégapixels à l’avant.

À l’usage, on a un peu de polyvalence, mais pas de mode nuit pour les clichés en basse luminosité. Les résultats sont loin d’être exceptionnels, mais on aurait pu s’attendre à pire au regard du segment tarifaire.

Ci-dessous, une photo en extérieur en fin de journée :

D’autres photos en extérieur, en milieu de journée :

Une photo en extérieur de jour, puis sa version ultra grand-angle :

Deux photos en intérieur, avec un sujet qui bougeait un peu :

Deux photos de nuit :

Un selfie :

Gestion dual-SIM et 4G 700 MHz

Pas de 5G pour le Huawei Y6p qui se limite à la 4G, avec d’ailleurs le support de la B28 (4G 700 MHz) chère aux abonnés Free Mobile. Notez par ailleurs la gestion dual-SIM, avec un tiroir de la tranche gauche proposant deux logements Nano-SIM dédiés. L’extension MicroSD dispose de son propre emplacement.

Ci-dessous, des débits en intérieur :

Puis des débits en extérieur :

Pas une bête de course

Avec son chipset Helio P22 associé à 3 Go de mémoire vive, le Huawei Y6p n’est évidemment pas une bête de course, aussi bien sur le papier que dans les faits. La navigation ou le lancement des applications s’accompagnaient parfois de temps d’attente. Le smartphone nous permettait de jouer, quand le jeu fonctionnait (nous y reviendrons plus bas), mais pas dans les meilleures conditions non plus (graphismes peu détaillés et manque de fluidité). Un constat cependant pardonnable au regard du prix du smartphone. Une bonne chose : pas la moindre chauffe durant notre semaine de test.

Une journée sans problème, une charge pas trop longue

Le Huawei Y6p embarque une batterie 5 000 mAh, ce qui lui permet de tenir la journée sans problème et d’envisager une deuxième journée dans le cas d’un usage modéré.

Ci-dessous, un exemple d’utilisation : départ à 12h06 et arrivée le lendemain à 18h06 avec 16 % :

– 5 minutes de YouTube avec le son du smartphone
– 1 heure et 10 minutes de YouTube avec les écouteurs filaires
– 40 minutes de jeu avec les écouteurs filaires
– 1 heure et 40 minutes de streaming audio avec les écouteurs filaires
– Consultations et alertes e-mail
– Consultations Twitter
– Surf sur Internet
– SMS
– Un appel voix court
– Photos
– 6 téléchargements d’application
– Fonctionnement continu de TousAntiCovid

Le chargeur 10 Watts paraît bien modeste, surtout au regard de la capacité de la batterie à remplir. Il faut également se satisfaire d’une connectique Micro-USB. Pas d’USB-C, ici.

Ci-dessous, un suivi de charge :

– 8h44 : 3 %
– 8h49 : 6 %
– 8h54 : 10 %
– 8h59 : 14 %
– 9h24 : 33 %
– 9h35 : 42 %
– 9h44 : 49 %
– 10h34 : 87 %
– 10h56 : 97 %
– 11h08 : 100 %

Une interface basée sur Android 10, mais sans le Play Store (et c’est bien là le problème)

Le Huawei Y6p est fourni avec un système Android 10 sans les services et applications de Google. Exit donc le Play Store, mais également Gmail, YouTube ou Maps.

Applications non disponibles dans l’App Gallery, applications disponibles fonctionnant finalement mal ou pas du tout, applications impossibles à installer avec des fichiers APK ou obligation de se rabattre sur la version Web du service, l’expérience d’un appareil Android sans le Play Store est synonyme de messages d’erreur récurrents et frustrante à la longue.

Quelques exemples. Un Aphalt 9 disponible sur l’AppGallery et installé deux fois, mais ne fonctionnant (correctement) que lors du premier démarrage, avant un écran noir systématique les fois suivantes.

Un nPerf disponible, dont le test de débit fonctionne, mais pas la carte (une version Full Huawei est d’ailleurs sur les rails, nous a indiqué le développeur). Une application Radio France disponible, mais ne fonctionnant pas au final.

Des APK installés à plusieurs reprises depuis les officiels ou des plates-formes alternatives (APKPure et APKMiror), avant de tomber sur le bon, ou pas.

Des applications sans installation à retrouver dans un Quick App Center ou à placer sur l’écran d’accueil, qui ne sont en fait que des raccourcis vers des versions Web pas optimisées (on le voit en basculant en mode paysage).

Si l’AppGallery n’est pas totalement vide, il manque trop d’applications. Nous avons fait passer le smartphone entre une dizaine de mains (collègues, amis et famille). Chacun devait chercher ses applications favorites. La plupart manquaient à l’appel.

Cerise sur le gâteau : la publicité de quelques secondes en plein écran avec le bouton Ignorer à chaque démarrage de l’AppGallery.

L’interface du Huawei Y6p propose pourtant des fonctions pratiques, comme le choix entre un écran avec ou sans tiroir d’applications, le choix entre la navigation par boutons ou par gestes, l’écran scindé pour le multitâche, le mode sombre pour le soir, le mode eBook pour la lecture, la navigation à une main et la gestion avancée des gestes (notamment le toc-toc pour la capture d’écran).

Nous avions en outre les patchs de sécurité de décembre 2020. Pas les derniers, mais pas les plus vieux non plus.

Toujours au volet sécurité, le lecteur d’empreintes dorsal et la reconnaissance faciale fonctionnaient à merveille, avec un atterrissage rapide sur l’écran d’accueil.


VERDICT

Techniquement, le Huawei Y6p propose ce qu’on attend d’un smartphone à moins de 150 euros. On a ainsi des performances assez moyennes, un écran sans prétention (mais confortable à utiliser), une compatibilité réseau limitée à la 4G (avec la B28 chère aux abonnés Free Mobile), des photos loin d’être exceptionnelles (mais pas totalement à jeter non plus) et une charge un peu longue (explicable en partie par la grosse batterie à bord).

Mais il y a cette partie logicielle sans les services et applications de Google qui ne rend pas l’expérience invivable, mais vite et régulièrement frustrante. Cela rend l’achat de ce smartphone sans grand intérêt à nos yeux, surtout que les alternatives ne manquent pas sur le segment entrée de gamme. Un smartphone est là pour se simplifier la vie, pas pour se la compliquer inutilement.


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Samsung Galaxy A42 5G : test du smartphone XXL à moins de 400 euros

Si Samsung intègre la 5G dans ses smartphones les plus haut de gamme, le constructeur sud-coréen la propose également sur ses modèles de milieu de gamme. De quoi rendre la nouvelle technologie plus accessible. Elle équipe notamment le Galaxy A42 5G dont voici le test.

 

Avant de passer au test, voici les principales caractéristiques du Galaxy A42 5G qui nous a été prêté par le constructeur et que l’on trouve à moins de 400 euros :


Fiche technique du Samsung Galaxy A42 5G : les caractéristiques


–   Processeur : octa-core jusqu’à 2,2 GHz (chipset Snapdragon 750G)
–   Mémoire vive : 4 Go


–   Écran : dalle Super AMOLED 6,6 pouces avec une définition 1 600 x 720 pixels
–   Audio : son mono
–   Stockage : 128 Go extensible par carte MicroSD (slot hybride nano-SIM/MicroSD)


–   Gestion SIM : deux logements Nano-SIM dans un tiroir de la tranche gauche
–   Compatibilité 4G : support des bandes B1/B2/B3/B4/B5/B7/B8/B12/B17/B20/B28/B38/B40/B41
–   Compatibilité 5G : support des bandes N1/N3/N5/N7/N8/N28/N40/N41/N78


–   Quadruple capteur photo au dos (organisation en carré) : 48 + 8 + 5 + 5 Mégapixels
–   Capteur photo à l’avant : 20 Mégapixels dans une encoche goutte d’eau


–   Prise casque 3,5 millimètres : oui (tranche inférieure)
–   Connectique de charge : USB-C (tranche inférieure)
–   Support Wi-Fi : version Wi-Fi 5
–   Connectivité Bluetooth : version 5.0
–   NFC : oui


–   Batterie : 5 000 mAh non amovible
–   Recharge filaire : support de la charge 15 Watts (bloc 9V/1,67A non inclus dans la boîte)
–   Recharge sans-fil : non


–   Système d’exploitation : Android 10 avec l’interface One UI 2.5


–   Solutions de déverrouillage : reconnaissance faciale ou lecteur d’empreintes digitales sous la dalle
–   Patchs de sécurité installés durant notre test : décembre 2020


 

Un smartphone XXL

Autant le dire d’emblée, le Galaxy A42 5G ne s’adressera pas aux amateurs de smartphones compacts et légers. Avec son écran de 6,6 pouces et sa batterie 5 000 mAh, il prend de la place entre les mains et se fait difficilement oublier dans la poche (surtout dans celle du short pour un footing ou une balade estivale, par exemple).

D’autres points mettront en revanche tout le monde d’accord concernant la prise en main : la faible épaisseur et la bonne intégration du bloc photo arrière qui évitent l’instabilité du smartphone sur la table ou la gêne lors de la tenue en mode paysage pour la vidéo ou le jeu. Il y a également ce design pas trop anguleux et ce toucher doux rendant la préhension agréable. Enfin, la coque est glissante, mais pas trop. De quoi rassurer les maladroits.

Visuellement, si des détails comme le menton prononcé en bas de l’écran et l’encoche goutte d’eau en haut de l’écran rappellent que l’on n’est pas en face d’un smartphone haut de gamme, le Galaxy A42 5G bénéficie d’une finition assez qualitative. Il y a peut-être le motif dorsal, un dégradé à base de bandeaux, qui ne fera pas l’unanimité. Il ne la faisait en tout cas pas au sein de l’équipe.

Un écran XXL ne faisant pas l’unanimité, un son mono

L’écran est AMOLED et propose une diagonale de 6,6 pouces. Il faudra en revanche composer avec l’encoche goutte d’eau, se contenter de la définition HD+ et oublier le taux de rafraîchissement élevé. Il ne coche donc pas toutes les cases. Concernant le manque de définition d’ailleurs, cela dépendra des utilisateurs. Il est passé inaperçu aux yeux de certains, mais a immédiatement sauté aux yeux d’autres. Notez enfin que la chaleur d’affichage peut être ajustée dans les paramètres.

Côté son, on a quelque chose de clair et puissant, avec le petit début de basses appréciable en musique, vidéo ou jeu. Le smartphone fait par contre l’impasse sur le rendu stéréo, avec un son sortant uniquement de la grille au niveau de la tranche inférieure. Un peu frustrant face à un grand écran invitant à la consommation de contenus. Pour du stéréo, il faudra donc se rabattre sur les écouteurs à connecter en Bluetooth ou en mini-jack, cette dernière connectique étant effectivement présente au niveau de la tranche inférieure. En parlant d’écouteurs, ceux fournis feront l’affaire, mais sans plus. Les basses manquent un peu, et les médiums apparaissent surreprésentés.

Cinq capteurs photo pour satisfaire le plus grand nombre

Cinq capteurs pour ce Galaxy A42 5G. Mais à l’usage ? Dans les faits, le smartphone de Samsung ne casse pas des briques. Il offre simplement quelque chose de convenable pour satisfaire le plus grand nombre, dans la plupart des situations.

Ci-dessous, une photo de jour, en partant de l’ultra grand-angle jusqu’au zoom 10x (spoiler : ça devient évidemment moche à la fin) :

Une photo en intérieur avec du flou d’arrière-plan :

Une photo avec le mode macro :

Un selfie en extérieur :

Des photos en basse luminosité en extérieur et en intérieur, puis leurs versions corrigées. Oui, le mode nuit recadrait à chaque fois notre photo.

Dual-SIM, 4G 700 MHz et 5G

Comme son nom l’indique, le Galaxy A42 5G supporte la 5G. Le logo est d’ailleurs apparu après l’installation d’une mise à jour durant notre test, celle apportant au passage les patchs de décembre 2020. Le smartphone s’annonce aussi compatible avec la 4G 700 MHz (B28) chère aux abonnés Free Mobile. On a bien une possibilité de fonctionnement dual-SIM, mais avec un emplacement hybride Nano-SIM / MicroSD, obligeant ainsi à sacrifier l’extension de la mémoire interne.

Ci-dessous, des débits en intérieur :

Puis en extérieur :

Le multimédia : plus qu’une possibilité, une incitation

L’écran XXL du Galaxy A42 5G est déjà un appel au multimédia en soi. Le chipset Snapdragon 750G et la mémoire à bord ajoutent les performances suffisantes pour que l’expérience soit vraiment bonne. Pas de temps de chargement longs, pas de saccades. Même pas de chauffe durant la semaine d’utilisation. On est bien loin du boulet à la patte.

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Pour les amateurs de benchmark, l’outil Disk Speed indiquait 317 Mo/s en écriture et 705 Mo/s en lecture. Pas mal.

Une autonomie confortable, mais une charge pas trop rapide

Avec sa batterie 5 000 mAh, le Galaxy A42 5G passe la journée sans encombre. En fonction de nos usages plus ou moins gourmands, nous atteignions une demi-journée ou une journée en plus.

Ci-dessous, un suivi de charge : départ à 17h08 avec 100 % et arrivée le surlendemain à 10h45 avec 12 %

– 1 heure et 10 minutes de jeu avec le son du smartphone
– 25 minutes de jeu avec les écouteurs filaires
– 30 minutes de YouTube avec les écouteurs filaires
– 5 minutes de YouTube avec les écouteurs Bluetooth
– 15 minutes de YouTube avec le son du smartphone
– 1 heure et 15 minutes de streaming audio avec les écouteurs Bluetooth
– Alertes et consultation Gmail / Twitter
– Pas mal de surf sur Internet
– Fonctionnement continu de TousAntiCovid
– Photos
– Tests de débit
– 21 mises à jour d’applications
– 1 téléchargement d’application

Ci-dessous, un autre suivi de charge : départ à 7h56 avec 100 % et arrivée le lendemain à 10h57 avec 32 % :

– 20 minutes de jeu avec les écouteurs Bluetooth
– 30 minutes de YouTube avec les écouteurs filaires
– 1 heure et 35 minutes de streaming audio avec les écouteurs Bluetooth
– Alertes et consultation Gmail / Twitter
– Pas mal de surf sur Internet
– Quelques SMS
– Fonctionnement continu de TousAntiCovid
– Photos
– Tests de débit
– 2 mises à jour d’applications
– 1 téléchargement d’application
– 1 benchmark

Samsung fournit un chargeur 15 Watts, ce qui évite les charges interminables, mais apparaît un peu léger au regard de la taille de la batterie à bord du Galaxy A42. Comptez dans les deux heures pour faire le plein.

Ci-dessous, un suivi de charge :

– 15h09 : 8 %
– 15h14 : 12 %
– 15h19 : 17 %
– 15h33 : 29 %
– 15h47 : 41 %
– 16h00 : 52 %
– 16h11 : 62 %
– 16h28 : 75 %
– 17h00 : 93 %
– 17h08 : 100 %

Le système Android 10 avec l’interface One UI 2.5

Durant notre test, nous avions l’interface One UI 2.5 avec une base Android 10.

Quelques applications installées dans le cadre de partenariats et partiellement désinstallables :

– OneDrive (désactivable)
– Facebook (désinstallable)
– Netflix (désactivable)
– YouTube Music (désinstallable)

Quelques fonctions pratiques, dont :

– Le choix entre la navigation avec les boutons ou les gestes
– Le mode d’utilisation à une main (bien pratique vu la taille de l’écran)
– La gestion avancée des mouvements et gestes
– L’affichage fractionné pour le multitâche
– L’écran latéral avec ses raccourcis
– Le mode sombre pour l’utilisation le soir
– Le filtre de lumière bleu pour la lecture
– Le mode d’emploi intégré dans les paramètres (fonctions de base, applications et fonctions, etc.)

Comme dit plus haut, une mise à jour (de 311 Mo) nous a permis de passer aux patchs de sécurité de décembre 2020 (au lieu d’octobre 2020). Rien de neuf lors de la recherche d’une nouvelle mise à jour, au moment où sont écrites ces lignes.

Concernant enfin les solutions de déverrouillage avancées, à savoir la reconnaissance faciale ou le lecteur d’empreintes sous la dalle, elles se révèlent moins réactives que certaines solutions du marché. Une petite latence est en effet perceptible. Au moins n’a-t-on jamais eu besoin de réenregistrer les données. Les solutions fonctionnaient du premier coup et à chaque fois.


VERDICT

Le Samsung Galaxy A42 ne coche pas toutes les cases. Il n’est pas le smartphone parfait. Des choses manquent comme la définition Full HD+ et le fort taux de rafraîchissement au niveau de l’écran, mais également le son stéréo, la charge rapide et la charge sans-fil. Maintenant, ce smartphone se révèle une expérience intéressante sous la barre des 400 euros, avec sa compatibilité 5G en plein lancement commercial de la technologie en France, son écran AMOLED XXL pour les amateurs de contenus et sa batterie de bonne capacité pour passer la journée sans encombre (même en se lâchant un peu sur les usages gourmands). La présence du mini-jack reste toujours un plus pour certains utilisateurs. Enfin, durant notre test; nous n’avions pas le dernière version d’Android (Android 10) ou les derniers patchs de sécurité en date (décembre 2020), mais une interface complète, bien pensée et pas chargée en logiciels commerciaux.


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Forfaits mobiles : Sosh lance trois séries limitées avec jusqu’à 100 Go de data

Sosh, la marque low cost d’Orange, participe elle aussi à la guerre autour de la data dans le mobile. Elle dégaine en effet trois forfaits sans engagement à prix cassé avec un maximum de data pour l’Internet mobile.

Jusqu’au 29 mars 2021, Sosh commercialise ainsi des forfaits mobiles 60, 70 et 100 Go (débit réduit au-delà) sans engagement à respectivement 13,99, 14,99 et 15,99 euros par mois. “Même après un an”, est-il d’ailleurs précisé par la marque d’Orange. Ces forfaits comprennent en outre les appels voix, les SMS et les MMS en illimité depuis la France et l’Europe. La partie data mobile utilisable depuis le reste de l’Europe varie entre 8 et 15 Go, selon la formule choisie. À noter pour terminer qu’on parle de forfaits limités à la 4G et que Sosh propose la carte SIM dans sa version physique ou virtuelle (eSIM).

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Insolite : un homme sauvé d’un étang gelé grâce à son Apple Watch

Un homme aurait pu mourir dans un étang gelé. Une fonction de sa montre connectée, dont il s’est souvenu, lui a sauvé la vie.

Les smartphones et autres objets connectés se dotent de fonctionnalités à l’utilité parfois discutable, et d’autres bienvenues en cas de pépin. La fonction d’appel d’urgence de l’Apple Watch a d’ailleurs récemment sauvé la mise à son propriétaire.

Williams Rogers patinait seul sur un étang gelé, quand la glace s’est brisée sous son poids. Cet habitant du New Hampshire, aux États-Unis, s’est alors retrouvé dans l’eau glacée. Ne parvenant pas à s’extirper, il a fini par ressentir les premiers signes d’hypothermie. Cela faisait dix minutes qu’il était dans l’eau glacée.

La fonction qui tombe à pic

L’enseignant s’est alors souvenu de la fonction d’appel d’urgence de sa montre connectée. Lorsqu’il a joint les secours, il a insisté sur le risque qu’il finisse inconscient. Environ 5 minutes plus tard, les secours étaient sur place pour lui venir en aide. 

La fonction appel d’urgence fonctionne avec les modèles cellulaires de l’Apple Watch, mais pas seulement. “Pour qu’Appel d’urgence fonctionne sur une Apple Watch sans connexion cellulaire, il faut que votre iPhone soit à proximité. Si vous n’êtes pas à côté de votre iPhone, votre Apple Watch doit être connectée à un réseau Wi‑Fi connu et vous devez activer les appels Wi‑Fi”, est-il précisé sur site du géant américain. Bon à savoir pour les propriétaires.

Source : 20minutes

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Smartphones : Asus sort l’artillerie lourde pour les joueurs, Oppo dévoile trois modèles 5G, Huawei propose du réchauffé

Chaque semaine, retrouvez un condensé des annonces autour des smartphones. Au programme : trois modèles taillés pour le jeu mobile chez Asus, trois modèles 5G chez Oppo et un modèle rafraîchi chez Huawei.

Cette semaine, Asus a renouvelé sa famille de smartphones ROG destinée aux gros joueurs sur mobile avec des Rog Phone 5, Rog Phone 5 Pro et Rog Phone 5 Ultimate. Ils partagent un dernier Snapdragon 888, chipset dernier cri de Qualcomm, un écran AMOLED 6,78 pouces FHD+ 144 Hz, un capteur photo principal de 64 Mégapixels et une batterie 6 000 mAh supportant la charge 65 Watts. La différence se jouera au niveau des quantités de mémoire vive et de mémoire de stockage, le modèle Ultimate proposant ainsi 18 Go de mémoire vive et 512 Go de stockage. Le ROG Phone 5 débarquera dès le mois de mars, le Rog Phone 5 Pro en avril et le Rog Phone 5 en mai. Les prix oscilleront entre 799 euros pour le Rog Phone 5 en configuration 8/128 Go et 1 299 euros pour le Rog Phone 5 Ultimate en configuration 18/512 Go.

De son côté, Oppo a présenté trois smartphones avec des Find X3 Lite, Find X3 Neo et Find X3 Pro. Le Find X3 Lite propose un chipset Snapdragon 765G, un écran AMOLED FHD+ 90 Hz, un capteur photo 64 Mégapixels et une batterie 4 300 mAh rechargeable en 65 Watts. Le Find X3 Neo permet de passer à un chipset Snapdragon 865 plus véloce, tandis que le Find X3 Pro permet de passer à un chipset Snapdragon 888 dernier cri et à un AMOLED QHD+ 120 Hz. Il ajoute par ailleurs la charge sans-fil en 30 Watts. Ces smartphones arriveront fin mars aux prix respectifs de 449,90, 799,90 et 1 149,90 euros. Le constructeur nous a confirmé que le premier rejoindra d’ailleurs la boutique Free Mobile.

Quant à Huawei, il a annoncé un Mate 40E, une version rafraîchie du Mate 40 de fin 2020 équipée d’un chipset Kirin 990E et d’un capteur photo 64 Mégapixels. On retrouve outre cela l’écran OLED 6,5 pouces FHD+ 90 Hz débordant sur les tranches, le capteur 13 Mégapixels pour les selfies et la batterie 4 200 mAh rechargeable avec une puissance de 40 Watts. Côté logiciel, on a une interface EMUI 11 basée sur Android 10. Reste maintenant à voir si ce smartphone s’invitera à l’international. Il ne joue pour l’instant qu’à domicile.

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Android : plusieurs applications vérolées à supprimer si vous les avez sur votre smartphone

Plusieurs applications dangereuses ont été repérées et évincées du Play Store. Reste maintenant à les désinstaller côté utilisateurs.

Malgré tous les mécanismes de vérification en place, certains escrocs arrivent tout de même à passer entre les mailles du filet et à diffuser leurs malwares via le Play Store, la boutique applicative de l’écosystème Android. Grâce au malware Clast82, plusieurs applications ont pu rester sous les radars. Une fois installées, elles pouvaient alors diffuser à leur tour et en toute discrétion deux agents malveillants baptisés AlienBot Banker et MRAT. Le premier malware cible les données bancaires pour vider vos comptes. Le second n’est guère plus amical, puisqu’il a pour but la prise de contrôle à distance de votre appareil.

Ayant repéré le petit manège, les chercheurs de la société de sécurité informatique Check Point ont alerté Google le 28 janvier. Les 9 applications vérolées ont été retirées du Play Store le 9 février. Les spécialistes évoquent une “méthodologie créative, mais préoccupante”, ayant permis de contourner les protections du Play Store. “Les victimes pensaient télécharger une application utilitaire inoffensive depuis le store officiel d’Android, mais ce qu’ils obtenaient vraiment, c’était un cheval de Troie dangereux qui venait directement pour leurs comptes financiers”, déplorent-ils.

Ci-dessous, la liste des applications :
BeatPlayer – com.crrl.beatplayers
Cake VPN – com.lazycoder.cakevpns
eVPN – com.abcd.evpnfree
MusicPlayer – com.revosleap.samplemusicplayers
Pacific VPN – com.protectvpn.freeapp
QR / Barcode Scanner MAX – com.bezrukd.qrcodebarcode
QRecorder – com.record.callvoicerecorder
tooltipnatorlibrary – com.mistergrizzlys.docscanpro

Si vous avez encore l’une d’entre elles sur votre appareil, pensez évidemment à la désinstaller.

Source : The Hacker News via JDG

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Près de 20 000 applications Android et iOS ne sécuriseraient pas assez les données de leurs utilisateurs

Un spécialiste de la sécurité informatique tire la sonnette d’alarme. Des développeurs imprudents mettraient en danger les données personnelles de leurs utilisateurs.

La société de sécurité informatique Zimperium a analysé 1,3 million d’applications pour Android et iOS. Parmi elles, plus 130 000 utiliseraient les services de Cloud d’Amazon, Google et Microsoft pour stocker les données de leurs utilisateurs. Or, sur ces plus de 130 000 applications (84 000 sur Android et 47 000 sur iOS), près de 20 000 (11 877 sur Android et 6 608 sur iOS) exposeraient les données aux hackers en raison d’une mauvaise configuration. 

Parmi les données mises en danger, car pouvant être lues, modifiées, effacées et récupérées, des adresses e-mail, des mots de passe, des numéros de téléphone, des photos, des données bancaires ou des données médicales. Sans donner de nom, Zimperium a évoqué des applications populaires. Dans le lot, on trouve des applications financières, des applications de transport, des applications de réseau social ou des applications contenant des résultats de tests médicaux.

“C’est une tendance inquiétante. Beaucoup de ces applications ont un stockage dans le cloud qui n’a pas été configuré correctement par le développeur ou par quiconque avait accès à la configuration et, à cause de cela, les données sont visibles par à peu près tout le monde. Et la plupart d’entre nous ont actuellement certaines de ces applications”, déplore Shridhar Mittal, PDG de Zimperium. 

Sources : Presse Citron et Future Tech

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NRJ Mobile dégaine des forfaits mobiles 50 et 100 Go à prix cassé

Deux séries limitées chez NRJ Mobile avec, au choix, 50 ou 100 Go pour l’Internet mobile. Les tarifs promotionnels valent pendant les 6 ou 12 premiers mois, en fonction de l’offre.

Jusqu’au 10 mars 2021, NRJ Mobile propose deux forfaits mobiles sans engagement en promotion. Coûtant 3,99 euros par mois pendant les 6 premiers mois, puis 15,99 euros, le premier inclut les appels, SMS et MMS en illimité, ainsi que 50 Go de data mobile (débit réduit au-delà), utilisable en 3G ou 4G, selon la couverture disponible. Revenant à 9,99 euros pendant 12 mois, puis 19,99 euros, le second permet de passer à une enveloppe de 100 Go pour l’Internet mobile (débit réduit au-delà). Notez enfin qu’il faudra prévoir 10 euros à la commande pour la carte SIM triple découpe.

Comme Auchan Telecom ou Cdiscount Mobile, la marque NRJ Mobile appartient à Euro Information Telecom, cinquième opérateur mobile en France avec 2 millions de clients, désormais filiale du groupe Bouygues Telecom. Dans le cadre de ce rachat, celle-ci est d’ailleurs amenée à n’utiliser que le réseau de Bouygues Telecom après un basculement progressif des abonnés.

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Smartphones : Xiaomi avait quatre Redmi Note 10 dans les cartons, Samsung annonce son Galaxy Xcover 5 renforcé

Chaque semaine, retrouvez un condensé des annonces autour des smartphones. Au programme : les nouveaux Redmi Note 10 de Xiaomi, le nouveau Galaxy Xcover 5 renforcé chez Samsung et les nouveaux Red Magic 6 taillés pour le jeu chez Nubia.

Ce jeudi, Xiaomi a officialisé pas moins de quatre smartphones : les Redmi Note 10, Redmi Note 10S, Redmi Note 10 5G et Redmi Note 10 Pro. Le Redmi Note 10 met en avant un chipset Snapdragon 678, un écran AMOLED, un capteur photo 48 Mégapixels et une batterie 5 000 mAh avec charge 33 Watts. Le Redmi Note 10S en est une version améliorée permettant de passer au chipset Helio G95 et à un capteur photo 64 Mégapixels. Le Redmi Note 10 5G gagne la 5G en s’équipant du chipset Dimensity 700. Il fait l’impasse sur l’AMOLED, mais profite d’un écran 90 Hz. Il embarque une batterie 5 000 mAh, mais avec charge 18 Watts. Le Redmi Note 10 Pro bénéficie d’un écran AMOLED 120 Hz, d’un module photo principal de 108 Mégapixels et d’une batterie 5 020 mAh avec une charge 33 Watts. Pas de 5G en revanche puisqu’il s’oriente vers la plate-forme Snapdragon 732G ne proposant pas cette connectivité.

Xiaomi a seulement indiqué un prix de 199,90 euros pour le Redmi Note 10 avec 4 Go de RAM et 128 Go de stockage. Le reste des informations arrivera le 16 mars.

De son côté, Samsung a annoncé un nouveau membre au sein de sa famille Galaxy Xcover misant sur une robustesse améliorée. Voici donc le Galaxy Xcover 5 avec son chipset Exynos 850 synonyme de 4G, son écran 5,3 pouces HD+, ses modules photo 16 et 5 Mégapixels et sa batterie 3 000 mAh rechargeable en 15 Watts. Annoncé pour ce mois de mars, il coûtera 289 euros en Europe.

Enfin, Nubia a renouvelé ses smartphones Red Magic taillés pour le jeu mobile. La marque a présenté des Red Magic 6 et Red Magic 6 Pro. Ces smartphones embarquent le chipset Snapdragon 888, un écran 165 Hz et un capteur photo 64 Mégapixels. Le modèle standard propose de la charge 66 Watts et le modèle Pro de la charge 120  Watts. La mémoire vive et la mémoire de stockage peuvent aller jusqu’à 18 Go et 512 Go respectivement avec le modèle Pro. Reste maintenant à attendre les infos concernant le marché global.

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