Chaque semaine, retrouvez un condensé des annonces autour des smartphones. Au programme : un smartphone 5G abordable chez Samsung, un smartphone 5G renforcé chez Archos et un chipset 5G signé Samsung.
Samsung entend également participer à la démocratisation de la 5G en faisant ruisseler la technologie jusqu’aux gammes les plus abordables. La firme sud-coréenne a ainsi dévoilé un Galaxy A32 5G qui sera disponible en Europe et positionné sous la barre des 300 euros. On parle de modèles 64 et 128 Go qui débarqueront en février à respectivement 279 et 299 euros. Les autres caractéristiques mentionnent un écran IPS 6,5 pouces HD+, quatre capteurs photo 48, 8, 5 et 2 Mégapixels au dos, un module 13 Mégapixels pour les selfies, une batterie 5 000 mAh supportant la charge 15 Watts et un processeur octa-core 2,0 GHz.
Samsung a par ailleurs présenté son nouveau chipset mobile Exynos 2100, que l’on retrouve notamment dans les versions européennes des Galaxy S21, S21+ et S21 Ultra fraîchement annoncés et arrivés en précommande dans la boutique Free Mobile. La plate-forme apporte un processeur octa-core jusqu’à 2,9 GHz, un support de la photo 200 Mégapixels, un support de l’enregistrement 4K 120 fps et un support de la 5G jusqu’à 7,35 Gbit/s en débit descendant.
Archos, enfin, propose la technologie 5G sur un smartphone durci baptisé X67 qui arrivera début février au prix de 599 euros. Résistant à l’eau, à la poussière et aux chutes, celui-ci s’équipe d’un écran IPS 6,67 pouces FHD+, d’un capteur photo principal 48 Mégapixels accompagné de modules pour l’ultra grand-angle, le mode portrait et la macro, d’une batterie 8 000 mAh et d’un processeur octa-core 2,0 GHz épaulé par 8 Go de RAM. Le constructeur fournit une interface basée sur Android 10.
Archos ? Quelques potes en ont eu un.... ils en sont vite revenus...
Essayez !
c'est clair, ce fut mon cas il y a plusieurs années, plus JAMAIS! (je voulais pourtant acheter un soupçon plus français au moins dans le titre)
...lol, je viens de voire le sondage UF..avec une grosse faute d’orthographe, ça craint le journalisme de nos jours